Questions au gouvernement

François Bogendorfer:
Madame la Présidente,
Mes chers collègues,

Ma question s'adresse au Ministre des Affaires Etrangères.

Monsieur le Ministre, la rumeur a touché l'Assemblée. Armara a décidé de rapatrier Anatole Picsou mettant fin à la présence d'Armara aux négociations de l'AMRCE.

Cela étant du à une situation intérieure gravissime. Armara est au bord de la crise politique. La Présidente Harmann est seule, l'opposition parlementaire est morte. Et l'ancien Président Robert Moore a décidé de quitter la Syldavie du Sud pour organiser une grande opposition visant à renverser Harmann.

La Francovie n'a, certainement, pas à s'impliquer dans cette affaire. Mais, Monsieur le Ministre, si des troubles devaient intervenir en Armara, quelles seraient les retombées en Syldavie? Vous savez, comme élu du Comtat, nous sommes très sensible à la question Syldave.

Pouvez-vous nous assurer prendre les mesures nécéssaires pour éviter qu'une crise politique Armaréènne en Syldavie ne menace pas l'intégrité et la stabilité de la Francovie?

Je vous remercie.

Nicolas Mandragore, Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense :

Monsieur le député,

En effet, Armara n'est plus présente aux négociations au sujet de l'AMRCE. Cela est fort regrettable et fragilise le projet. Nous espérons que nous arriverons à avancer à et travailler dans la sérénité avec les pays restants. Nous souhaitons tous la réussite de ce projet mais si cela devait aller dans le mauvais sens ou ne pas avancer, nous ne laisserons pas la Francovie s'enliser. Que ce soit clair.

Une fois ce point terminé à propos de l'AMRCE, je répond à votre question Monsieur le député. En effet, une crise sévit à Armara, et ce n'est naturellement pas la vocation de la Francovie de s'occuper de la politique interne des pays étrangers.

Cependant, vous soulevez un point intéressant et non négligeable. Car il est vrai, qu'une crise politique profonde et longue, peut amener à un délitement de l'autorité de l'Etat armaréen, et provoqué une certaines anarchie, en Syldavie par exemple. La Francovie sera naturellement prête, et l'est en permanence, à protéger son territoire et son intégrité, contre des groupes étrangers.

Nous gardons néanmoins confiance dans l'avenir, et espérons que la situation armarénne se réglera rapidement. Nous gardons naturellement confiance en Armara, mais la Francovie est toujours prête pour se protéger et garantir sa stabilité.

Marc Gilemot , député PCF , Merkiste modéré convaincu historique , se présente pour poser sa première question à l'Assemblée Nationale :



Madame la Présidente ,
Mes chers collègues ,

Ma question s'adresse au ministre des affaires étrangères et de la Défense,

Monsieur le ministre ,

Alors que le sommet sur l'organisation économique ultra libérale créatrice de chomage est sur le point d'etre un echec sanglant , chose que je ne peux regretter je dois bien l'avouer , il nous appartient cependant à nous députés de l'assemblée nationale , representant du peuple de juger de la compétence de votre participation au gouvernement.

Si ce sommet avait pour objectif la création d'une organisation qui n'aurait rien apporté autre que le chomage , la pauvreté et la tristesse aux francovars il n'en reste pas moins que ce sommet a quoi qu'il arrive ridiculisé la Francovie. "L'oublie" d'inviter le Krassland , l'impossibilité de débattre avec Armara , l'accident entre Armara et Prya fera rentrer ce sommet dans les annales mais pas pour les bonnes raisons. La presse micromondiale comme par exemple L'Archipelien se moque déja de nous.
L'accueil de ce sommet devait démontrer que la Francovie était une puissance diplomatique majeure et vous nous avez démontré que votre administration , votre gouvernement était incapable d'organiser un tel évenement.

Cet echec est le votre mais aussi celui de l'ambassadeur au Krassland , du premier Ministre et du Président de la République.

Ma question est donc simple et se décompose en deux questions.

Quand allez vous , monsieur le ministre , demander la démission de Nicolas Vasseur , ambassadeur au Krassland , responsable de la non participation du Krassland au sommet ?
Quand vous aurez recu la démission de monsieur Vasseur , quand allez vous présenter la votre devant la representation populaire ?

Nicolas Mandragore, Ministre des Affaires Etrangères :

A un moment, j'ai cru que vous alliez arriver à demander la démission du Président de la République !

Rires dans la majorité.

Monsieur le député, bon, déjà, commencez par bien préparer votre question avant de la poser. Je suis désolé de vous l'apprendre mais Nicolas Vasseur n'est pas ambassadeur au Krassland.

Sinon, je crois que vous n'avez pas saisi l'objectif de l'AMRCE. Traiter ce projet d'ultra libéral alors que sa priorité, c'est la régulation du commerce micromondial, c'est un non-sens absolu. Concernant "l'oublie", comme vous dites, le Krassland n'a pas reçu directement l'invitation à l'ambassade c'est certain. Mais l'invitation a été formulée auprès du micromonde. Le Valdisky est bien présent, hors nous n'avons pas encore d'ambassades chez eux. Le Krassland aurait pu voir l’invitation auprès du micromonde comme le Valdisky.

Mais, en y réfléchissant un peu, peut on vraiment considéré que c'est de notre faute, si il y a eu cet accrochage Prya-Armara ? Peut-on réélement faire assumer à la Francovie la totalité de ces évènements ? L'AMRCE est un projet capital que nous voulons tous réussir. Mais, je le répète, si cela n'avance pas, nous ne nous enliserons pas. La Francovie assume ses responsabilités, mais tous le monde doit les assumer. Inutile d'accabler la Francovie à des fins politiques. Si l'AMRCE est un échec, tout le monde assumera ses responsabilités.

Madame Ramon a évident fauté en ne pas l'envoyant directement, et elle devra assumer ses responsabilités.

Mais franchement, votre question, qui en réalité n'en est pas une, démontre bel et bien la démagogie qu'incarne à merveille votre parti.

Sandrine d'Auteuil, Députée PRC:

Madame la Présidente,
Mes chers collègues,

Ma question s'adresse à Madame la Ministre de la Santé, Jennifer Kold.

La crise sanitaire liée à la Flemingite est sur le point d'être endigué en Francovie. Je salue au passage le travail formidable du bureau du Dr Cranon qui a permit des avancées majeures dans la recherche.

Toutefois, ces recherches démontrent de la mutation du virus responsable du VIL et de sa manifestation infectieuse, la flémingite, à atteint un seuil critique. Le virus est devenu mortel, il a fait des ravages en Francovie, et extrêmement transmissible.

Ce qui est assez exceptionnel car, en bactériologie, une règle déclare que la mortalité lié à une maladie est inversement proportionnelle à sa capacité de transmission. Nous voilà donc avec un virus mortel et hyper contagieux.

A cela s'ajoute la transmission par voie aérienne du virus en Armara, qui subit une expansion fulgurante de l'épidémie. Les douanes armaréènnes ont émis une alerte. Alerte qui a été émise aussi par les douanes francovares et le Centre de Recherche Bactériologique de Micropolia.

Pourtant, le Ministère tient une attitude des plus intenable! Nulle déclaration, nulle décision de votre part, Madame la Ministre!

Huées à droite

La situation sanitaire est de nouveau menacée. Et vous que faîtes vous? Quelles mesures allez vous mettre en place? Une aide scientifique et médicale serat-elle proposée à Armara? Allez vous octroyer enfin un véritable fond budgétaire à la recherche d'un médicament voire d'un vaccin?

Tant de questions auxquelles vous auriez du répondre très rapidement mais vous avez préféré le silence... Silence et manque d'information, principaux vecteurs de la crainte générale.

Jenifer Kold

Madame, je suis parfaitement au courent de la situation, mais voyez vous j'y travaille et lors que viendra le temps de faire des annonces je les ferais. Vous conviendrait que vous tenir au courent de tout n'est pas ma priorite quand il faut mettre justement en place les mesures qui eviterons la propagation de ce virus.

-La Parole est à la députée NI-DVG, Rose Verneuil:


Rose Verneuil:

Merci madame le Président,
Mes chers collègues,

Cette question s'adresse au Ministre de l'Economie.

La rumeur court et la rumeur dit: La croissance sera, au mieux, nulle ce moi-ci. Je ne m'épancherais pas, comme certains, sur votre faute éventuelle dans ce dossier. L'heure n'est pas au bilan, il est au redressement.

Monsieur le Ministre Jean-François Maillard, il existe dans notre pays une véritable division économique entre les grands conglomérats, détenant le capital, et les PME détenant le travail. Alors, je ne vais pas me lancer dans une diatribe de lutte des classes, je vous rassure.

Mais le constat est que le capital, le pouvoir d'investissement reste dans les caisses. On investit pas, parce que l'on ne consomme pas. Comment voulez-vous tourner à plein régime si personne ne consomme? Il est donc impératif de redéfinir une nouvelle stratégie économique.

Aussi, Monsieur le Ministre, je ne vous interpelle pas, je vous demande. Je vous demande de commander un rapport indépendant sur l'état économique et la croissance de chacun de nos secteurs économiques

Raquel Peyranne : Madame la Présidente, mesdames et messieurs les députés. Ma question s'adresse également au ministre de l'économie ou à toute autre personne ayant cette fonction, puisqu'on ne sait plus trop bien qui gouverne dans ce pays. En plus de ces rumeurs sur une croissance nulle, viennent s'ajouter d'autres rumeurs, que j'espère infondées, qui font état d'une pénurie en PP. Je souhaiterais vous entendre à ce sujet et si cette pénurie est avérée, j'aimerais en connaitre la cause. Je vous remercie.

Réaction chez les NI

Verneuil:

rumeur de croissance nulle? Donc, les déclarations de la BCF sont des rumeurs et rien d'autre. Et la croissance n'est pas nulle, 0.7-0.8% je crois.

Raquel Peyranne avait du mal à dissimuler sa surprise.

Raquel Peyranne : "La croissance sera, au mieux, nulle ce moi-ci". C'est vous-même qui l'avez dit, madame Verneuil. Mais nous ne sommes pas là pour débattre entre nous mais pour poser des questions au gouvernement. Et les nôtres restent dramatiquement sans réponse.

Raphaël Villeneuve, Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi :

Madame Peyranne, on sait très bien qui dirige, et je suis le ministre de l'Economie. Cessez d'instiller des doutes qui n'existent pas.

Tout d'abord, permettez moi de vous dire tout de suite que votre crédibilité est mise à mal. Ne pas être au courant des chiffres définitifs de la croissance et traité les communiqués de la BCF de rumeurs, cela pose des questions sur la pertinence de vos analyse économiques.

Mais, je vais répondre clairement à votre question. Toutes nos entreprises de BTP, à savoir la COFRACO et Pro-BAT, ont en effet produit l'ensemble des stocks de Novembre. A ce jour, nos entreprises de BTP possèdent 50PP. Cela ne sera pas suffisant pour le mois de Novembre. C'est un fait. Mais, il est totalement infondé, de vouloir rejeté la faute de cette pénurie sur le gouvernement, comme vous tentez de le faire avec votre question, qui veut installer le doute et le soupçon sur le gouvernement. Le gouvernement ne pouvait prévoir cette pénurie, étant donné la rapidité de la décision de Delta de lancer un programme spatial, qui a mobilisé d'énormes moyens en PP.

L'enjeu aujourd'hui, ce n'est pas seulement d'éviter la pénurie totale pour le mois de Novembre, mais bel et bien d'assurer l'indépendance économique de la Francovie dans ce secteur. C'est pourquoi, nous avons décidé avec le Président de la République, de la création d'une troisième entreprise de BTP. Elle sera créé par le FSIF, et cette initiative forte de l'Etat permettra d'assurer l'indépendance du pays dans ce secteur et d'assurer une production nationale de PP forte.

Le gouvernement continue son travail, et je mènerai avec volonté et détermination la mission que m'a confiée le Président de la République !

Raquel Peyranne :

Monsieur le Ministre, lorsque j'ai parlé de rumeurs concernant la croissance, je ne faisais que reprendre les propos de la député Verneuil, des propos antérieurs au communiqué de la BCF. Or, nous le savons très bien vous et moi, au moment où j'ai pris les paroles les chiffres de la croissance étaient connus et les rumeurs, comme bien souvent, étaient infondées et je n'ai pas un instant cherché à les colporter.

Cela étant dit, ma question portait sur la pénurie de PP, j'ai reçu une réponse et c'est là tout ce que je souhaitais.

Antoine Coty:

La parole est à Madame Florence Pelletier, Députée UDF-UDR.


Florence Pelletier:

Merci, Monsieur le Président.

Ma question s'adresse à Madame la Ministre de l'Economie et des Finances.

Ce soir s'ouvre la campagne pour le référendum sur la grille de Schweinwald. Et comme l'a si bien dit le Président Hautecourt, ce gouvernement est singulier par ses incohérences, ses contraditions.

Huées à gauche

Mes chers collègues, vous avez beau avoir 80 sièges et plus, la démocratie exige tout de même que nous ne soyons pas forcé d'élever la voix au-dessus de vos braillements. Je disais donc que ce gouvernement est singulier car, alors que le grand débat, la grande division dans notre pays est la grille de Schweinwald, nous avons des ministres pro et des ministres contre.

Nous avons un Premier Ministre favorable et un Ministre des affaires étrangères... d'un parti défavorable à la grille. Aussi, Madame la Ministre, l'opposition réclame que le gouvernement rompe le silence et prenne clairement parti. Les électeurs, les entrepreneurs doivent savoir quels sont les desseins du gouvernement francovar.

Je vous remercie.

Le Premier Ministre se leva et prit la parole.




Antoine Bordemer :


Je vais répondre car je crois que cette tâche me revient. Je n'ai pas l'intention de me dissimuler derrière l'un de mes ministres, j'assumerai mes choix et j'assumerai la politique que je mènerai.

Madame Pelletier, mon gouvernement est à l'image de la Francovie, il n'est pas singulier, il est pluriel, il est divers. Lorsque je l'ai composé, contrairement au Président de la République je ne me suis pas posé la question de savoir ce que pensait untel ou untel au sujet de la grille et pour tout vous dire, il y a des membres de mon gouvernement dont je ne connais pas la position. J'ai uniquement pris les personnes que j'estimais les plus qualifiées et les plus compétentes.

Car voyez-vous, Madame Pelletier, mon gouvernement n'a d'autres desseins que d'oeuvrer pour le bien de toute la Francovie et de tous les Francovars.


La petite pique dirigée contre Carpentier ne manqua pas d'être remarquée par tous les députés.

Antoine Coty, Président de l'Assemblée Nationale:

Mes chers collègues,

Par la présente déclaration, j'ai le regret et l'infinie tristesse d'annoncer à la représentation nationale le décès du Président de la République, Raphaël Vinago.

Sur ma décision, j'ai décidé d'ordonner la mise en berne des drapeaux de l'Assemblée et la suspension de nos travaux ce jour. Je demande aussi aux députés, réunis en séance, de bien vouloir respecter une minute de silence.


Minute de silence

Mes chers collègues, je vous remercie.

L'ensemble des travaux de l'Assemblée Nationale sont suspendus jusqu'à 23h59 ce soir.

La séance est levée.

Marie Delaplace, députée PCF, se lève pour prendre la parole.


Marie Delaplace : Ma question est pour Jean-Christophe Mariani, Ministre de l'Économie.

Les Francovars ont voté par référendum et ont choisi de sortir définitivement de la grille de Schweinwald. Depuis, nos entreprises mais aussi les salariés de ces entreprises sont dans l'attente d'une nouvelle grille.

Monsieur le Ministre, combien de temps encore vont-ils devoir attendre ? Avez-vous déjà commencé à travailler sur une nouvelle grille ?

Antoine Coty:

La parole est à Florence Pelletier, Ministre déléguée en charge du Budget.

énorme "Hoooo" dans les rangs à gauche

Florence Pelletier

Merci, Monsieur le Président,

Veuillez excuser le Ministre de l'Economie, il tient en ce moment une réunion de travail avec le Premier Ministre sur le thème que vous soulevez.

Madame la députée Delaplace, votre question est très pertinente et c'est une vrai priorité du gouvernement à cette heure. Déjà, plusieurs décisions ont été annoncées en Conseil des Ministre et que je peut révéler devant vous.

-Une caisse de compensation sera mise en place afin de sauver les entreprises qui seraient menacées de fermeture.
-Sur les actions détenues en Francovie de parts d'entreprises à l'étranger, le gouvernement les rachètera afin de dédommager, en cas de rupture définitive du commerce avec certains Etats, les entreprises investisseuses. Elles seront, dans ce cas, échangées avec l'autre Etat. Si on maintient l'ouverture des investissements, ces actions pourront être récupérées.
-Les Ministres de l'Economie et des Affaires étrangères se réuniront avec leurs homologues étrangers pour renégocier les traités économiques.

Mais je vous l'assure, madame la députée, le gouvernement est au travail et, nous, nous assumons pleinement cette nouvelle configuration voulue par le peuple, contrairement à certains.

Nous assumerons pleinement et entièrement devant la représentation nationale et devant le peuple!

Larges applaudissements

Marie Delaplace :

Madame la Ministre déléguée, je veux bien vous croire lorsque vous dites que vous assumez pleinement cette nouvelle configuration voulue par le peuple.

Mais je remarque tout de même que vous avez été incapable de répondre à ma question qui était pourtant extrêmement simple.

Rose Verneuil:

Rappel au réglement!

Monsieur le Président, ce n'est pas la première fois que cela arrive en QaG ou en Débat général, tout le monde se plie à cette règle sauf deux partis ici présent: D'où est-il question d'un droit de réplique?

Le débat Général n'autorise qu'un orateur par groupe et la QaG est une simple question et non un débat. Il serait temps que le PPF et le PCF apprennent à lire le règlement de l'Assemblée et cessent d'en perturber le fonctionnement parce que là, encore une fois, nous allons vers un débat.

Aussi, je réclame que chaque prise de parole d'un groupe, hors Rappel au réglement, soit considéré comme une question au titre de l'article II alinéa 11.

Merci

Antoine Coty:

Madame la députée, ce que vous dîtes est vrai. Mais je ne vais pas faire la police de la prise de parole, nous sommes quand même libre de parler dans cette assemblée, liberté garantie dans la constitution.

Toutefois, il est vrai que ceci est une séance de question et qu'il n'y a nulle mention d'un droit de réplique dans un texte pourtant très détaillé. Aussi, je considère que deux questions ont été formulée par le PCF.

Huées des députés PCF.


Marie Delaplace : Monsieur le Président, je proteste !

Non seulement la Ministre déléguée se permet de répondre à une question qui ne lui est pas posée, mais de surcroît elle ne répond absolument pas à cette question !

Ce n'est pas vraiment ce que j'appellerais "assumer pleinement et entièrement devant la représentation nationale" !

Antoine Coty:

Madame la député, ce n'est pas un débat! Vous venez d'être avertie amicalement, à la prochaine, j'inscrit un avertissement au procès verbal!

Applaudissement à droite et de quelques personnes à gauche