13e sommet de la LEM

Silas Gorgonides : - Il n'y a pas d'élection à proprement parler. Un candidat est admis si aucun des membres de la Ligue n'oppose son véto à l'adhésion.

Lukas Twyman a écrit:Twyman : Comme vous le savez, M.Morton à déjà fait part des possibilités de la Croix Verte auprès de vous-même.

Shivana Pal:
Je vous remercie. Cependant j'invite Monsieur Morton et tous les représentants à l'AHLEM à bien vouloir prendre contact avec l'AHLEM et non avec moi qui ne représente ici non pas l'AHLEM mais uniquement mon pays.

Devant l'endormissement de son Président, Julio prit le risque de prendre la parole au nom de Prya.
A priori, M. Twyman a abusé des petits fours et a une petite indigestion et vos sanitaires semblent bien confortable.

Ce que souhaiterait Prya, ce serait une commission qui contrôlerait que les budgets aloués par les Etats soient bien redistribués aux différentes agences et que celles-ci les utilisent bien et de façon cohérente.
Nous proposons que cette commission soit présidée par le Ministre ou responsable économique du pays hôte du Conseil de la Ligue et qu'il y soit présent un représentant de l'AELEM et 3/4 députés choisis par le ParLEMent. Les responsables de chaque agence devraient présenter une copie des comptes et les éventuels justification. Le ParLEMent aurait à consigner au même endroit tous les budgets votés. Chaque trimestre cette commission présenterait ces conclusions aux Etats membres.

Grand dieu, Monsieur Morton! Que de lourdeurs et de tatillonnages. Encore une commission qui va alourdir un peu plus le coté technocrate de la LEM. Grand dieu je vous en prie, faite simple et efficace... pas une usine à gaz.

diplomatie piréenne a écrit:Grand dieu, Monsieur Morton! Que de lourdeurs et de tatillonnages.  Encore une commission qui va alourdir un peu plus le coté technocrate de la LEM. Grand dieu je vous en prie, faite simple et efficace... pas une usine à gaz.

Je crois que vous me confondez avec quelqu'un d'autre.
Sinon, nous pouvons dévouer cette fonction au Conseil de la Ligue (qui ainsi bossera enfin  ) et donner un pouvoir de contrôle au ParLEMent.

Brasidas Spyros fit irruption dans la salle et salua les personnes présentes.

L'ancien président du Conseil Provisoire de Transitions portait désormais un nouveau titre, celui de Toparque du Skotinos, un poste cumulant dans la nouvelle Constitution les anciennes fonctions de Président et de Premier Ministre. Spyros était donc désormais à la fois chef de l'Etat et de gouvernement... ce qu'il était déjà auparavant au CPT mais désormais sa légitimité démocratique était réelle. Le Skotinec qui avait pris le pouvoir en 2016 lors d'un coup d'Etat et s'était arrogé les pleins pouvoirs en suspendant la constitution venait d'être élu Toparque par la Forca, l'assemblée élue en décembre après l'adoption de la nouvelle Constitution élaborée l'an passé par l'Assemblée Constituante.

Spyros prit place dans le fauteuil qu'occupait depuis le début de la conférence Silas Gorgonides qi avait assuré la suppléance et prit brièvement la parole.

Brasidas Spyros : - Bonjour ä tous, désolé de vous interrompre en pleine discussion et de n'arriver que maintenant mais j'ai été retenu au pays par une élection importante. Je tiens à remercier monsieur Gorgonides pour m'avoir supplée au cours des premiers jours du sommet et j'en profite pour le remercier pour le travail accompli à la tête de la diplomatie skotinecque au cours des derniers mois. Je le félicite aussi pour sa récente élection au ParLEMent.

Silas Gorgonides : - Merci, Monsieur le Toparque, ce fit un plaisir de travailler à vos côtés au CPT. Je dois maintenant vous laisser car je dois me rendre à St Roman pour sièger au ParLEMent. Je vous laisse les notes que j'ai prises depuis le début du Sommet pour que vous puissiez suivre les dossiers à l'ordre du jour.

Spyros et Gorgonides se serrèrent la main longuement puis Gorgonides salua les personnes présentes avant de quitter la salle.

Spyros et Gorgonides étaient des amis de longue date qui se tutoyaient en privé et le Toparque aurait aimé garder son ami dans le nouveau gouvernement mais il avait du faire des compromis car il avait promis trois ministères aux écologistes dans le cadre de l'accord de coalition et il devait en réserver un au clan Pétrelis allié aux Spyros au sein de l'ARF.

Gorgonides ayant perdu son siège à la Forca aux dernières élection et ne pouvant entrer au gouvernement il s'était rabattu sur le ParLEMent et venait d'étre élu dans la circonscription de Facilitae en battant sa propre fille Polydora qui s'était présentée sous les couleurs du parti merksiste-luniniste skotinec. Au Skotinos les histoires de famille étaient souvent compliquées...

Archimède Parmentier :

- "Il serait temps de trancher sur cette question épineuse. Qui est d'accord pour reprendre la dernière proposition de monsieur De Fortia laissant le contrôle général des finances par le ParLEMent tout en amenant le Conseil de la Ligue à se saisir de la question une fois par trimestre peut être sous rapport du représentant de l'AELEM avant le sommet trimestriel ?

J'ai publié le communiqué vu qu'il n'y avait aucune opposition."

Julio reprit.
Effectivement, l'ATLEM est le bon exemple de ce que devrait faire les autres agences. Sauf, que pour l'heure, il est difficile de savoir ce qu'elles ont fait de leur financement.
Ce sont justement les LEMosceptiques pryans qui en ont marre de voir de grosses sommes d'argent versées à la LEM sans qu'il n'y ait de retour pour le pays et sans non plus voir où l'argent est allé et a été dépensé.
La proposition de M. Parmentier me parait correcte, donnons cette prérogative au ParLEMent de contrôler les finances et au Conseil de la Ligue d'avoir un rapport de chaque agence chaque trimestre sur la façon dont les comptes ont été dépensées. L'ATLEM fait déjà ce travail en présentant la répartition de ses subventions, maintenant il faudrait que les autres agences montrent ce qu'elles ont fait avec.

Je suggère aussi de pousser un peu l'ACLEM sur la question du Le Média afin que cette source d'information de la LEM soit enfin mise en marche et que celle-ci présente les réalisations de la LEM au grand public.

Julio se disait qu'heureusement il avait accompagné le Président Twyman, sinon Prya n'aurait jamais eu l'occasion de débattre sur ce sujet épineux.

Brasidas Spyros : - Puisque vous avez mentionné l'ACLEM, je vais vous donner les détails financiers pour cette agence.

1er trimestre 2017 : Budget reçu 40'000 megs  - Dépenses 13'000 megs pour financer LeMedia et construire son siège
2e trimestre 2017 : Budget reçu 0 megs - Dépenses 0 megs
3e trimestre 2017 : Budget reçu 29'000 megs - Dépenses 0 megs
4e trimestre 2017 : Budget reçu 20'000 megs - Dépenses 0 megs
1er trimestre 2018 : Budget reçu 30'000 megs - Dépenses 13'000 megs de prix répartis (concours d'art abstrait)

Depuis sa création l'ACLEM a perçu 119'000 megs mais n'en a dépensé que 26'000 ce qui fait qu'il reste 93'000 megs à disposition.

Plusieurs projets ont été évoqués (subventions au cinéma, à l'industrie musicale, aux musées, aux universités, aux médias...) mais n'ont pas abouti en raison du manque de participation des Etats membres à la vie de l'Agence. Nous avons proposé divers projets mais face au manque de réponse des représentants des Etats membres nous nous demandions si cela les intéressait réellement. Pour finir la présidente de l'ACLEM a décidé de changer d'approche et de lancer une initiative sans attendre les réponses des Etats membres : cela a donné la semaine de l'art abstrait et son concours de peinture qui a été un succès (25 oeuvres présentées et 10 primées). A l'avenir nous pensons lancer à nouveau des initiatives de ce type, au moins une par trimestre. Nous envisageons aussi que tout citoyen ou toute association d'un pays de la LEM organisant un événement artistique ou culturel de portée internationale puisse faire une demande de subvention à l'ACLEM. Si le dossier est solide et répond a certains critères à définir une subvention pourrait être accordée. Cela pourrait encourager l'organisation d'un festival musical ou cinematographique, d'un colloque universitaire ou d'autres manifestations culturelles.

En ce qui concerne LeMedia, la disparition du porteur de projet, monsieur Tiverre a porté un coup d'arrêt au projet qui avait bien débuté. Pour le relancer nous souhaiterions que tout pays membre interessé par ce projet envoie un journaliste à la rédaction du journal. L'idéal serait de publier un numéro trimestriel qui pourrait sirtir à la fin du trimestre en faisant le bilan des activités menées ce qui pourrait nourrir la discussion du Sommet du début de trimestre suivant.

A côté du journal trimestriel présentant des articles d'analyse nous avons aussi envisagé le lancement d'une agence de presse ou d'une chaine TV d'info qui diffuserait des infos courtes et factuelles sur l'actualité de la LEM, des agences et des pays membres.

Il y aurait ainsi de l'info brève et factuelle en continu (dépêches d'agence) et de l'info plus analytique et détaillée (articles de fond) une fois par trimestre.

Archimède Parmentier :

- "Au vu où vont les choses je vous propose donc de lier le débat sur le controle du budget avec celui sur le fonctionnement de la LEM en général prévu à l'ordre du jour.
Ce que je peux voir sur les bilans des agences c'est que les projets de la LEM qui fonctionnent sont ceux qui sont pris à bras le corps par au moins une personne (pas forcément d'ailleurs le président de l'agence responsable du projet) à l'image du football actuellement ou encore du concours de peinture de l'ACLEM ou de LE Média avec monsieur Tiverre qui avait bien avancé avant sa disparition.

Ce que je vous propose c'est justement de privilégier ce genre de fonctionnement. Une personne désirant lancer un projet dans une agence doit essayer (comme l'a fait par exemple le président de l'ACLEM avec le concours de peinture) de mobiliser ses confrères mais s'il n'a aucune réponse il doit quand meme essayer de lancer le projet si c'est possible selon la règle du "qui ne dit mot consens" y compris en y accordant une partie du budget de l'Agence.
Si le projet en question est une réussite et mobilise in fine les autres nations du fait de l'engagement de son promoteur, l'Agence devra effectuer les versements voulus par le promoteur. 
Là où le Conseil de la Ligue interviendrait c'est dans le cadre du controle de ces éventuels abus. Notamment en vérifiant si le projet a mobilisé plusieurs nations de la LEM et si le budget du projet n'est pas trop conséquent.

Pour reprendre l'exemple de l'ACLEM, le Concours de la Peinture a mobilisé beaucoup de monde ce qui justifie les dépenses prévues.
Si on prend un autre exemple du genre quelqu'un qui tente de lancer un sport à l'ASLEM mais dont les résultats est un echec flagrant il ne pourra pas dépenser le budget de l'Agence."

Voyant les chefs d'Etat s'ennuyaient et le sien batifoller on ne sait où, Julio prit la parole :
Mesdames, messieurs, je vous propose de terminer avec ce Sommet et d'ouvrir dans sa continuité le Conseil de la Ligue afin de vous libérer et ainsi vous permettre de retourner à vos affaires urgentes ou non.
Le Conseil de la Ligue doit être le lieu de débat, le Sommet des chefs d'Etat devrait davantage entériner ce qui a été discuté en amont. Je pense qu'il serait bon d'échanger davantage entre nous avec chaque sommet soit par des rencontres bi, tri... partites comme j'avais pu le faire avec Mme Pal avant le Sommet en Skotinos il y a quelques mois.
Je vous informe aussi que Prya vient d'entrer en période électorale et que les prochaines semaines risquent d'être très mouvementé avec d'abord la présidentielle puis les législatives.

En effet la LEM ne parvenait pas à régler les problèmes des sommets longs décidément malgré les relances de Parmentier.

Archimède Parmentier :

- "En effet, je pense que nous devons terminer le sommet mais pour cela nous devons prendre une décision concernant le contrôle du budget et décider également du montant des subventions.
Les Etats membres peuvent-ils nous dire s'ils sont favorables à ma proposition et également proposer le montant de la subvention qu'ils aimeraient payer, nous appliquerons la méthode Fulk pour trancher. ?

La Francovie propose de reprendre les subventions antérieures c'est à dire 30 000."

Le Skotinos propose aussi 30'000

Lisa Monak : - Le Krassland est aussi d'akkord sur un maintien à 30'000 megs

Arvine n'était pas intervenu depuis le début du sommet. Il avait patiemment écouté les différents intervenants tout en prenant des notes.

Il se décida enfin à prendre la parole.


Arvine Bogendorfer : Si je puis me permettre de donner mon point de vue, je pense que la LEM souffre de graves lacunes. Je suis bien placé pour en parler, car je fais partie de ceux que l'on qualifie de lémosceptiques, bien qu'il m'arrive de penser que pour une micronation, être membre de la LEM puisse avoir ses avantages. Et qui, à part un lémosceptique, est en mesure de détecter les plus gros défauts de la LEM ?

Selon moi, la LEM manque d'énergie, d'ambition, elle manque de volonté ! Nous cherchons à avancer ensemble, mais nous avons perdu notre boussole, nous n'avons pas de cap, pas de destination commune ! Et les agences sont inefficaces car elles manquent d'organisation et de discipline !

Je pense que les agences devraient toutes se fixer comme objectif de se réunir au minimum une semaine par trimestre. Il est fréquent qu'elles soient inactives pendant plusieurs mois de suite et dans ces conditions, on est en droit de se demander quelle est leur utilité !

Au cours de chaque trimestre, chaque agence devrait mettre en place des projets et faire la présentation de ses projets dès le début du trimestre suivant, en ayant un seul et unique but : permettre à nos entreprises d'écouler leurs stocks ! Rien ne doit compter plus que cela ! Nos entreprises produisent, mais elles doivent ensuite vendre leurs productions et créer ainsi de la croissance, ce qui favorisera l'emploi ! C'est un cercle vertueux !


Voilà, j'ai le sentiment que la LEM s'est installée dans une sorte de routine, nous sombrons peu à peu dans une sorte de léthargie. La LEM doit faire rêver les peuples mais aussi les chefs d'entreprises. Ce n'est pas ce qu'elle fait actuellement.

Parmentier n'appréciait pas trop l'idée de centraliser les agences.
Bien entendu il comprenait les arguments fort logiques du Duc mais les agences dans beaucoup de nation était une spécificité très intéressante de la LEM qui en faisait sa nature.
Il préférait bizarrement plutot l'initiative du mezène qui rejoignanit sa position exposée à Maskva il y a 3 mois.

- "Je pense que la LEM doit justement améliorer sa communication. Il est clair qu'il est difficile pour tout le monde de pouvoir regarder l'actualité des agences chaque jour. Comme je l'avais dit il y a 3 mois il faudrait soit fixer une sorte de calendrier d'activité pour chaque agence ce qui rejoint l'idée de monsieur Bogendorfer que je trouve très bonne quitte par exemple a augmenter le délai pour certaines agences soit (l'idée pouvant se cumuler à la première) en faisant un compte-rendu mensuel sur l'activité des agences au cours du mois, ce que pourrait faire LE Média par exemple. 

Faire ce bilan chaque mois serait vraiment constructif pour l'ensemble de notre Ligue car cela permettrait à la population et pas seulement aux ambassadeurs de connaitre l'actualité de la Ligue.
Il a l'avantage également de ne pas etre dépendant de quelqu'un puisqu'une seule personne pourra faire ce bilan si elle en a le temps, j'ose croire que chaque mois nous trouverons quelqu'un au sein de la Ligue pour le faire, la Francovie en tout cas fera de son mieux pour faire ce bilan de toutes les agences si cela peut aider nos partenaires.

Je pense vraiment que ce cumul entre le Bilan et organiser des sessions par agence serait une bonne chose, rappelons quand meme que aujourd'hui les séances des agences sont dans les faits permanentes comme le Conseil Permanent de l'ONA, le Conseil de la Ligue ou encore le ParLEMent alors qu'à l'origine, conscient des problèmes que cela aurait pu poser, il était prévu que seul le Conseil de la Ligue soit permanent si on en croit la Charte."

Parmentier était perplexe sur les solutions à apporter étant donné que les membres avaient déja rejeté cette idée il y a 3 mois, peut etre que l'avis mezène et la crise de légitimité qui touche l'institution changera la donne pensa t-il. 

Arvine Bogendorfer : Ce que je dis surtout, c'est qu'au début de chaque trimestre, les représentants des États-membres dans les différentes agences devraient avant toute chose réfléchir à des moyens de dépenser les fonds de la LEM.

Et ces dépenses se feraient au cours du trimestre suivant, le temps que l'info remonte lors des sommets tels que celui que nous avons en ce moment afin que les fonds puissent être répartis.

Si les choses se passaient ainsi, en ce moment nous aurions des appels d'offres venant de toutes parts !

Lisa Monak : - Je vous rappelle ke le choix de décentraliser les agences avait été fait lors de la fondation de la LEM parce k'à l'époke beaukoup redoutaient k'une organisation centralisée ne détourne une partie de l'aktivité et de l'énergie des Etats membres au profit de l'organisation centrale. En décentralisant les agences dans les Etats membres on faisait en sorte ke l'aktivité de la LEM nourrisse l'aktivité des Etats membres au lieu de se faire à leur détriment. Cela présente certes kelkes inkonvénients mais aussi des avantages. N'oubliez pas ke ce choix fait lors de la Konférence de Krassershaven en 2012 a permis à la LEM de traverser sans heurts la krise "yssoise" de l'été passé. Si nous avions choisi d'héberger les agences sur le forum micromondial au lieu des forums des Etats membres les archives des agences seraient aujord'hui tombée en de mauvaises mains. Je krois ke ce choix de la décentralisation est l'une des grandes originalités de la LEM par rapport à des organisations klassikes komme l'ONA. Et c'est sans doute l'une des raisons du sukcès et de la longévité de notre organisation. Je pense ke nous devons konserver cela mais nous devons effektivement améliorer le fonktionnement de la LEM et des Agences.

Kar je komprends certaines kritikes. Les Agences doivent réagir plus vite et faire preuve de plus de dynamisme. Nous avons voté l'an passé un budget pour ke l'AHLEM konstruise un navire hôpital. Des mois plus tard aukun appel d'offre n'a enkore été lancé. Pourkoi ? Nous avons voté des kredits pour démarrer un programme spatial à l'ASPALEM... et là aussi toujours pas le moindre appel d'offre lancé ! Pourkoi ? Nous avons voté des krédits pour kréer le journal LEMédia. Des mois plus tard il n'a pas enkore sorti son premier numéro. Pourkoi ?

Toutefois n'oublions pas ke la LEM a aussi de belles réussites à son aktif komme le championnat de foot organisé avek professionalisme par l'ASLEM ou le Konkours Mikrovision initialement lancé dans le kadre de la LEM et ki a konsidérablement dynamisé la scène musikale mikromondiale.

Je ne suis pas une lémosceptike loin de là mais je suis d'akord avek monsieur Bogendorfer lorskil dit ke les agences devraient plus aktivement dynamiser nos ékonomies par le biais d'appels d'offres.

Je vous propose donk ke nous nous engagions à ce ke toutes les agences d'ici à notre prochain sommet aient lancé au moins un appel d'offre chakune. Celles ki n'auront pas fait d'appel d'offres ou de versement de subventions - du type de ce ke fait l'ATLEM par exemple - pourraient se voir privées de budget lors de la prochaine répartition... Je mets ceci au konditionel kar nous sommes ici kompétents pour alimenter le budget global de la LEM en fixant la kontribution trimestrielle mais la kestion de la répartition du budget est de la kompétence du ParLEMent et celle de l'utilisation des fonds est de la kompétence des agences.

Archimède Parmentier :

- "Oui en obligeant un appel d'offre cela obligera de se réunir mais j'invite les agences à s'organiser en session pour se retrouver et à le dire sur les réseaux micromondiaux (le forum du Micromonde). Nous pourrons l'indiquer dans le communiqué final."