Prise de fonction d'Hubert de Montignac
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Prise de fonction d'Hubert de Montignac
Montignac fut réveillé dans la nuit par un coup de fil du secrétaire général des Louvrières. Le roi lui confiait la préfecture de Mézénas. Par sens du devoir plus que par calcul politique, il accepta. Le lendemain matin, levé aux aurores, il prit connaissance de la revue de presse apportée par son chef de cabinet, puis il se rendit à la préfecture aux alentours de 9 heures, retrouvant le bureau qu'il avait quitté il y a de cela plus d'un an.
A 11 heures, une cérémonie officielle d'installation réunit la province. Soigneusement préparée, les élus de la province, qu'ils fussent unionistes, autonomiste ou indépendantiste y avaient été invité, ainsi que la presse et les corps constitués. Cérémonie publique, une foule de badauds, unionistes pour la plupart s'était associé à l’événement. Elle se tint devant le monument au victimes du Tarquisme. Le lieu avait été choisit par la préfecture pour rendre hommage à ceux qui étaient morts pour la liberté. Tout un symbole en ces instants où l'unité nationale avait été ébranlée. Hubert, s'était mis en réserve de son parti, il souhaitait se positionner en rassembleur.
Au dehors la sécurité était maximal. On avait dissuadé Hubert d'organiser cette cérémonie officielle. Il avait rétorqué avec quelque peu de panache : "Le représentant de l'Etat francovar, ne peut se coucher devant le terrorisme.
La cérémonie débuta par une revue des forces de sécurité intérieure : police, gendarmerie, sapeurs-pompiers. Hubert de Montignac avait ressorti son uniforme bleu nuit des préfet de la Monarchie, au parement de manche arborant une double rangée de feuilles de chêne et d'olivier, symbole de la force publique et de la paix, cousus de fils dorées.
[ Ambiance sonore]
Au son de la Marche des Soldats de Robert de Mézénas, jouée par la fanfare du groupement de gendarmerie le préfet passa en revue les troupes, saluant militairement les drapeaux des corps représentés puis les portes-drapeaux des associations d'anciens combattants.
La musique s'était tu, il rejoignit le cénotaphe, à son emplacement. L'officier de cérémonie annonça : "dépôt de gerbe par M. Hubert de Montignac, préfet de la région de Mézénas". Le préfet accompagné de deux enfants déposa la gerbe devant le monument, puis il rejoignit son emplacement au centre du dispositif. L'officier ordonna ensuite : "Aux morts".
[Ambiance sonore]
La sonnerie au mort se fendit l'air. La foule était silencieuse. Les drapeaux s'inclinèrent. Hubert se mit au garde à vous saluant de sa main droite porté à sa casquette le drapeau francovar.
[Ambiance sonore]
La fin de la Sonnerie aux morts, annonça le retentissement de l'hymne national, "la Marche du peuple". Les drapeaux se relevèrent. Hubert ne changea pas de position. La cérémonie fut clos à la fin de l'hymne par le départ des autorités. Le préfet salua les portes-drapeaux, puis vint le moment du discours.
A 11 heures, une cérémonie officielle d'installation réunit la province. Soigneusement préparée, les élus de la province, qu'ils fussent unionistes, autonomiste ou indépendantiste y avaient été invité, ainsi que la presse et les corps constitués. Cérémonie publique, une foule de badauds, unionistes pour la plupart s'était associé à l’événement. Elle se tint devant le monument au victimes du Tarquisme. Le lieu avait été choisit par la préfecture pour rendre hommage à ceux qui étaient morts pour la liberté. Tout un symbole en ces instants où l'unité nationale avait été ébranlée. Hubert, s'était mis en réserve de son parti, il souhaitait se positionner en rassembleur.
Au dehors la sécurité était maximal. On avait dissuadé Hubert d'organiser cette cérémonie officielle. Il avait rétorqué avec quelque peu de panache : "Le représentant de l'Etat francovar, ne peut se coucher devant le terrorisme.
La cérémonie débuta par une revue des forces de sécurité intérieure : police, gendarmerie, sapeurs-pompiers. Hubert de Montignac avait ressorti son uniforme bleu nuit des préfet de la Monarchie, au parement de manche arborant une double rangée de feuilles de chêne et d'olivier, symbole de la force publique et de la paix, cousus de fils dorées.
[ Ambiance sonore]
Au son de la Marche des Soldats de Robert de Mézénas, jouée par la fanfare du groupement de gendarmerie le préfet passa en revue les troupes, saluant militairement les drapeaux des corps représentés puis les portes-drapeaux des associations d'anciens combattants.
La musique s'était tu, il rejoignit le cénotaphe, à son emplacement. L'officier de cérémonie annonça : "dépôt de gerbe par M. Hubert de Montignac, préfet de la région de Mézénas". Le préfet accompagné de deux enfants déposa la gerbe devant le monument, puis il rejoignit son emplacement au centre du dispositif. L'officier ordonna ensuite : "Aux morts".
[Ambiance sonore]
La sonnerie au mort se fendit l'air. La foule était silencieuse. Les drapeaux s'inclinèrent. Hubert se mit au garde à vous saluant de sa main droite porté à sa casquette le drapeau francovar.
[Ambiance sonore]
La fin de la Sonnerie aux morts, annonça le retentissement de l'hymne national, "la Marche du peuple". Les drapeaux se relevèrent. Hubert ne changea pas de position. La cérémonie fut clos à la fin de l'hymne par le départ des autorités. Le préfet salua les portes-drapeaux, puis vint le moment du discours.
Hubert de Montignac- Messages : 1252
Date d'inscription : 19/04/2019
Re: Prise de fonction d'Hubert de Montignac
Messieurs les élus,
Messieurs les représentants des corps constitués,
Mesdames, Messieurs,
Sa Majesté m'a fait l'honneur de me nommer à la préfecture de la région de Mézénas pour y représenter l'Etat et la Couronne, et assumer dans l'attente d'institutions régulières les fonctions de Chef de clan. Je reçois cette responsabilité avec humilité, au milieu d'une situation politique complexe, dans un contexte aggravé par le terrorisme.
Je ne puis poursuivre ce discours sans rendre hommage à mon prédécesseur M. Emile Bogendorfer, victime d'un attentat lâche et odieux. Je lui apporte, ainsi qu'à sa famille tout mon soutien, et formule devant vous le voeu de son prompt rétablissement. J'ai demandé au commandant du groupement régional de gendarmerie et au directeur régional de la sécurité publique de mettre en oeuvre tout ce qui était en leur possible pour retrouver les auteurs de cet acte ignoble, afin qu'ils en répondent devant la justice.
Nommé par l'Etat, je souhaite assumer ma fonction de préfet au service de tous les Mézéniens, quelque soit leurs opinions politiques. Je souhaite assumer cette fonction dans le cadre des lois et règlements de la Monarchie, au service de l'intérêt général.
J'annonce la convocation prochaine d'élections afin d'élire le conseil régional de Mézénas qui reprendra ses fonctions d'assemblée délibérante. Ses membres, outre le vote des règlements et le contrôle de la politique de notre belle région, auront pour priorité la rédaction de notre Constitution clanique. Je souhaite que tous les partis politiques de Mézénas, qui concourent à l'expression du suffrage au terme de notre Constitution, y soient représentés, à la proportionnelle intégrale des suffrages qui se seront exprimés.
J'appelle tous les Mézéniens, comme hier, autour du préfet Bogendorfer, à s'unir, dès aujourd'hui, autour de moi pour écrire leur avenir.
Vive Mézénas, Vive le Roi et Vive la Francovie !
Messieurs les représentants des corps constitués,
Mesdames, Messieurs,
Sa Majesté m'a fait l'honneur de me nommer à la préfecture de la région de Mézénas pour y représenter l'Etat et la Couronne, et assumer dans l'attente d'institutions régulières les fonctions de Chef de clan. Je reçois cette responsabilité avec humilité, au milieu d'une situation politique complexe, dans un contexte aggravé par le terrorisme.
Je ne puis poursuivre ce discours sans rendre hommage à mon prédécesseur M. Emile Bogendorfer, victime d'un attentat lâche et odieux. Je lui apporte, ainsi qu'à sa famille tout mon soutien, et formule devant vous le voeu de son prompt rétablissement. J'ai demandé au commandant du groupement régional de gendarmerie et au directeur régional de la sécurité publique de mettre en oeuvre tout ce qui était en leur possible pour retrouver les auteurs de cet acte ignoble, afin qu'ils en répondent devant la justice.
Nommé par l'Etat, je souhaite assumer ma fonction de préfet au service de tous les Mézéniens, quelque soit leurs opinions politiques. Je souhaite assumer cette fonction dans le cadre des lois et règlements de la Monarchie, au service de l'intérêt général.
J'annonce la convocation prochaine d'élections afin d'élire le conseil régional de Mézénas qui reprendra ses fonctions d'assemblée délibérante. Ses membres, outre le vote des règlements et le contrôle de la politique de notre belle région, auront pour priorité la rédaction de notre Constitution clanique. Je souhaite que tous les partis politiques de Mézénas, qui concourent à l'expression du suffrage au terme de notre Constitution, y soient représentés, à la proportionnelle intégrale des suffrages qui se seront exprimés.
J'appelle tous les Mézéniens, comme hier, autour du préfet Bogendorfer, à s'unir, dès aujourd'hui, autour de moi pour écrire leur avenir.
Vive Mézénas, Vive le Roi et Vive la Francovie !
Hubert de Montignac- Messages : 1252
Date d'inscription : 19/04/2019
Re: Prise de fonction d'Hubert de Montignac
Pierre Ausone de Valencay avait assisté à la cérémonie. Hostile à l'éclatement de la nation francovar, il était du coté du préfet et avait pris sa carte le matin même au NPC.
- Vive la Francovie unie !
- Vive la Francovie unie !
Pierre Ausone de Valencay- Messages : 55
Date d'inscription : 19/04/2019
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