Etat-Major de l'Armée de l'Air
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Etat-Major de l'Armée de l'Air
Opération Beef Burger - Phase 2
Le général de division aérienne Marc Nairdeau était le nouveau Commandeur de l'Air. Officier général maladroit, misogyne, mal considéré par ses hommes et sa hiérarchie, il avait durant les années passées été mis à la tête d'un obscur commandement des opérations spatiales. L'épidémie de flémingite au sein de l'Etat major lui avait permis de prendre le commandement de l'Armée de l'Air tout entière.
Dans sa tâche, il était assisté par le Lieutenant-colonel Grégoire Sauvage, chef des opérations et numéro 2 de l'Armée de l'Air, avec lequel il supervisait le tire d'aujourd'hui.
- Bien, colonel Sauvage, nous allons procédés à l'armement des drones de combat... Je dois vous avouer être un petit peu excité... C'est Noël avant l'heure !... 12 h 03 minutes 57 secondes. Voyez vous colonel la précision est le maître mot de toute organisation militaire digne de ce nom... Tiens pourquoi le compte à rebours s'est enclenchée...
- Mon général le lancement ne devait-il pas avoir lieu demain 12 h 03, 57 seconde ?
- Oui bien sûr !
- J'ai l'impression qu'il est déjà lancé
- Qu'est-ce que c'est que cette mauvaise. J'ai moi même entré le compte à rebours ! tempêta Nairdeau. Qu'est-ce que c'est que ce bins ?
Le sous-lieutenant Angélique Alliot, aide-de-camp du général intervint.
- C'est un dispositif arméréen : vous avez inscrit am au lieu de pm
- Parce que ça n'est pas ça ?... Le général devint blême.
Sauvage intervint :
- Ne vous inquiétez pas mon général, j'appelle l'état-major et on arrange ça tout de suite...
Nairdeau semblait prostré :
- S'en est fini de mes étoiles... Sauvage revint vers lui :
- J'ai le Maréchal au téléphone mon général
Nairdeau semblait aller au supplice :
- Oui Monsieur le Maréchal, une erreur de frappe toute bête, un a au lieu de p. C'est fou !... Oui c'est vrai que bombarder un gaz soporifique en pleine nuit sur les casernes de Bourmizas ce n'est de la plus grande utilité tactique... Oui, que j'aille me faire f*****. A vos ordres Monsieur le Maréchal
Nairdeau était livide, soutenu par son aide-de-camp. Le colonel Sauvage revint vers lui embêté
- Mon général, je crois qu'il y a eu une erreur de produit. Les stocks de gaz soporifique sont toujours dans les entrepôts.
Les premiers drones décollaient déjà pour leurs objectifs militaires à Bourmizas. Objectif : neutraliser sans violence les militaires mézéen afin de permettre une progression sécurisée des forces terrestres en territoire hostiles.
- Qu'est-ce qu'on a envoyé ? S'interrogea Nairdeau
C'est alors qu'Antoine Scarapiduccys, le charge de communication de l'Armée de l'Air pénétra dans la salle de commandement :
- Mon général, j'ai un problème !
- Il a intérêt à être gros parce que moi je n'en manque pas Scarapiduccys
- On a prit les bombones de gaz hilarant et d'hélium que j'avais entreposé dans la salle d'armement pour la soirée "Air d'en rire" dans le cadre de notre nouvelle campagne de recrutement à l'attention de la jeunesse.
- Je crois que vous avez votre réponse Mon général, ponctua le Lieutenant Alliot.
Dans quelques minutes Bourmizas s'éveillerait dans un éclat de rire... La phase 3 de l'Opération Beef Burger était avancée de 12 heures. Quant au général Nairdeau, serait-il toujours en poste ?
Le général de division aérienne Marc Nairdeau était le nouveau Commandeur de l'Air. Officier général maladroit, misogyne, mal considéré par ses hommes et sa hiérarchie, il avait durant les années passées été mis à la tête d'un obscur commandement des opérations spatiales. L'épidémie de flémingite au sein de l'Etat major lui avait permis de prendre le commandement de l'Armée de l'Air tout entière.
Dans sa tâche, il était assisté par le Lieutenant-colonel Grégoire Sauvage, chef des opérations et numéro 2 de l'Armée de l'Air, avec lequel il supervisait le tire d'aujourd'hui.
- Bien, colonel Sauvage, nous allons procédés à l'armement des drones de combat... Je dois vous avouer être un petit peu excité... C'est Noël avant l'heure !... 12 h 03 minutes 57 secondes. Voyez vous colonel la précision est le maître mot de toute organisation militaire digne de ce nom... Tiens pourquoi le compte à rebours s'est enclenchée...
- Mon général le lancement ne devait-il pas avoir lieu demain 12 h 03, 57 seconde ?
- Oui bien sûr !
- J'ai l'impression qu'il est déjà lancé
- Qu'est-ce que c'est que cette mauvaise. J'ai moi même entré le compte à rebours ! tempêta Nairdeau. Qu'est-ce que c'est que ce bins ?
Le sous-lieutenant Angélique Alliot, aide-de-camp du général intervint.
- C'est un dispositif arméréen : vous avez inscrit am au lieu de pm
- Parce que ça n'est pas ça ?... Le général devint blême.
Sauvage intervint :
- Ne vous inquiétez pas mon général, j'appelle l'état-major et on arrange ça tout de suite...
Nairdeau semblait prostré :
- S'en est fini de mes étoiles... Sauvage revint vers lui :
- J'ai le Maréchal au téléphone mon général
Nairdeau semblait aller au supplice :
- Oui Monsieur le Maréchal, une erreur de frappe toute bête, un a au lieu de p. C'est fou !... Oui c'est vrai que bombarder un gaz soporifique en pleine nuit sur les casernes de Bourmizas ce n'est de la plus grande utilité tactique... Oui, que j'aille me faire f*****. A vos ordres Monsieur le Maréchal
Nairdeau était livide, soutenu par son aide-de-camp. Le colonel Sauvage revint vers lui embêté
- Mon général, je crois qu'il y a eu une erreur de produit. Les stocks de gaz soporifique sont toujours dans les entrepôts.
Les premiers drones décollaient déjà pour leurs objectifs militaires à Bourmizas. Objectif : neutraliser sans violence les militaires mézéen afin de permettre une progression sécurisée des forces terrestres en territoire hostiles.
- Qu'est-ce qu'on a envoyé ? S'interrogea Nairdeau
C'est alors qu'Antoine Scarapiduccys, le charge de communication de l'Armée de l'Air pénétra dans la salle de commandement :
- Mon général, j'ai un problème !
- Il a intérêt à être gros parce que moi je n'en manque pas Scarapiduccys
- On a prit les bombones de gaz hilarant et d'hélium que j'avais entreposé dans la salle d'armement pour la soirée "Air d'en rire" dans le cadre de notre nouvelle campagne de recrutement à l'attention de la jeunesse.
- Je crois que vous avez votre réponse Mon général, ponctua le Lieutenant Alliot.
Dans quelques minutes Bourmizas s'éveillerait dans un éclat de rire... La phase 3 de l'Opération Beef Burger était avancée de 12 heures. Quant au général Nairdeau, serait-il toujours en poste ?
Hubert de Montignac- Messages : 1304
Date d'inscription : 19/04/2019
Re: Etat-Major de l'Armée de l'Air
Sur le tarmac de l'aéroport de Fux, Baudry et une centaine de Mézéniens, principalement des proches, attendaient l'arrivée du gros porteur de l'Armée de l'air promis par Labardière.
La destination de l'appareil avait été gardée secrète, mais il ne faisait guère de doute que c'est aux États Fédérés de Mézénas que les exilés allaient s'installer...
La destination de l'appareil avait été gardée secrète, mais il ne faisait guère de doute que c'est aux États Fédérés de Mézénas que les exilés allaient s'installer...
Émile Bogendorfer- Messages : 1024
Date d'inscription : 18/02/2018
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