Déclaration du Ministère

Le Gouvernement dément toute perte de la Cote Ouest.
Il y a seulement eu des attentats organisés par les terroristes merksistes et krasslandais. 

Les miliciens noirs sont chargés de sanctionner tout traître réclamant le contraire.

Le MAED.

Communiqué public à l'attention de la Chancelière de Mezenas en réponse à sa demande du 22 Octobre

La Monarchie de Francovie a décidé de rejeter la demande d'extradiction mezène pour la seconde fois.

Nous ne pouvons que déplorer les menaces envers le peuple francovar alors que le Gouvernement francovar a été parfaitement ouvert à la discussion et totalement compréhensif des demandes mezènes. 

Cependant nous sommes dans l'obligation de refuser la demande mezène d'extrader Michel Poluchi pour une raison simple c'est que le Tribunate, le tribunal mezène n'est pas compétent dans ce litige.

En effet, les faits reprochés se sont déroulés à Micropolia sur le territoire francovar et par un francovar, la compétence ne revient donc pas au tribunal mezène mais au tribunal francovar le Conseil des Sages.

Je peux comprendre que les mezènes désirent juger une telle affaire mais de la meme manière que la Francovie n'a pas à juger d'un délit ou d'un crime qui se serait déroulé sur le territoire mezène, Mezenas n'a pas non plus à juger un litige sur le territoire francovar.

C'est un principe important de la souveraineté de nos deux états.

Le Conseil des Sages saura juger impartialement de ce litige, il l'a déja prouvé par le passé où la justice francovare a été déja un exemple dans le Micromonde, nous invitons donc le Palais Princier a porter plainte devant le Conseil des Sages à Micropolia pour qu'un jugement puisse etre rendu. 

Gerard Artisson, ministre des Affaires Etrangères et de la Défense (MAED)

Protestation officielle envers Mézénas

Madame la chancelière,

Apprenant par un débat parlementaire de votre Sénat que votre Gouvernement comptait construire une infrastructure afin de mettre sur écoute les différentes populations des nations de l'Archipel, le gouvernement francovar est obligé de protester officiellement contre ce qui constitue une ingérence dans le fonctionnement des différentes démocraties de notre Micromonde.

Votre projet qui touche selon les termes de votre gouvernement toutes les micronations y compris celles de la LEM, va nier les droits les plus élémentaires des populations à avoir une vie privée sans parler du fait qu'espionner selon les mots de votre ministre lors du débat "les décisions que ce soit au niveau diplomatique ou militaire" est une atteinte grave à la paix et ne respecte pas les différents traités de reconnaissance mutuelle que vous avez ratifié avec d'autres pays notamment l'Article VI en ce qui concerne les relations franco-mezènes qui prévoit que "Les Hautes Parties contractantes affirment leur ambition d’œuvrer ensemble pour la coopération, la paix et la stabilité du Continent Sud."

Nous vous demandons donc fortement et fermement de retirer immédiatement ce projet ou nous serons obligé de lancer un débat à l'ONA sur cette question et de demander votre exclusion de la Ligue des Etats Modernes.
La Francovie par ailleurs n'exclue pas de construire un mécanisme de protection empêchant toute transmission électronique entre Mezenas et la Francovie ce qui pourrait avoir pour conséquence d’empêcher tout système électronique de fonctionner dans certaines régions mezènes afin de se protéger contre cette tentative d'ingérence extrêmement grave.

Nous espérons que vous accepterez notre demande,

Diplomatiquement,
Gerard Artisson, 
Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense

Communiqué relatif à la demande d'asile politique de Tommen Delfrous

La Monarchie de Francovie a accepté l'entrée sur son territoire de Tommen Delfrous comme elle l'aurait fait pour n'importe quel ostarien suite au traité de reconnaissance mutuelle entre nos deux pays.

Monsieur Delfrous a fait une demande d'asile politique estimant etre visé par des extremistes républicains et merksistes non liés au gouvernement ostarien et avoir peur pour sa vie. Il pourra rester en Francovie s'il le désire.

Néanmoins, la Francovie tient à préciser qu'elle reconnait le referendum du 22 novembre 2017 et le passage d'une monarchie à la République à Ostaria. Elle tient d'ailleurs à saluer le rôle de Tommen Delfrous qui bien que ne soutenant pas la République aura ramené la démocratie dans le pays alors qu'il avait hérité d'un royaume avec des pouvoirs absolus. 

S'il apparaît clair aujourd'hui que des monarchistes ont commis des crimes à Ostaria, il apparaît difficile d'y attribuer la responsabilité sur les épaules de Tommen Delfrous qui au contraire dès son arrivée sur le trone d'Ostaria à tout fait pour ramener la paix et la démocratie dans le pays. Si dans certains pays de l'Archipel le fait de condamner un fils pour les crimes de son père est toléré, ce n'est pas le cas en Francovie ni à Ostaria d'ailleurs.

Aussi nous invitons le peuple ostarien à pardonner pour se reconstruire plus efficacement de la meme manière que la Francovie a pardonné ceux qui ont été obligé de collaborer au régime jallaniste. 

Rappelons que conformément au traité de reconnaissance mutuelle entre les deux pays ainsi qu'à la décision de la Cour des Sages francovare placant le système judiciaire ostarien parmi les bons systèmes démocratiques, Ostaria pourra demander une extradiction si Tommen Delfrous a commi des délits ou des crimes mais uniquement si c'est en dehors de la politique et du seul fait d'avoir été Roi.

La Francovie place toute sa confiance dans la Cour Supreme ostarienne, organe indépendant.

Diplomatiquement et Amicalement,

Gerard Artisson,

Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense 

Communiqué

    La Francovie est inquiète de la dernière décision de l'Union trans-océane relative à l'installation permanente de ses armées sur le Nord Ostaria pour officiellement contrecarrer les troupes avaroises et livadiennes.


    Nous tenons à rappeler que les ostariens ont eu par le passé un avis majoritairement défavorable à Pirée. Le Duc de Vagne ne le contestait pas puisqu'il était en conflit diplomatique avec le gouvernement ostarien.
Une telle décision risque donc de créer des problèmes avec la population civile.


     Bien que nous pouvons ignorer l’intérêt stratégique d'une telle décision, nous voulons faire prendre conscience qu'elle ne participe pas à la pacification du conflit qui semble s'installer ces dernières jours. En effet il semble que les combats aient cessés entre les deux factions belligérantes principales depuis l'affrontement aérien d'il y a quelques jours. Monsieur Akilebo s'est par exemple engagé à suspendre les combats et a respecté cette promesse tandis que les avarois et livadiens n'ont pas répliqués non plus. 
Nous esperons que cela va continuer mais cette décision transocéane risque au contraire de relancer le conflit.


      Surtout d'un point de vu tactique celle-ci n'est pas compréhensible puisqu'en bloquant les troupes avaroises et livadiennes vous les empêchez de quitter le territoire banganais ce qui est le but initial.
Tout au plus pouvons nous comprendre que vous souhaitiez empecher des renforts mais il n'y a pas besoin d'installer une armée terrestre pour cela, le bombardement mézéno-krasslandais l'a bien prouvé.


       Pour maintenir la pacification en cours et respecter les ostariens nous demandons donc à l'UTO de ne pas maintenir de façon permanente une armée sur place.  
       Cela risque de créer en plus des tensions supplémentaires sur la raison réelle de ce mouvement au moment où Pirée a demandé une annexion de ces territoires ces dernières années.


       La Francovie a participé à la pacification du conflit en refusant il y a peu le passage de troupe belligérante par sa partie du détroit de Bighal. Nous esperons que cette coopération implicite va continuer entre ceux qui veulent la paix. 


       Nous remercions par avance le gouvernement ducal et ses alliés pour leur coopération. 

Marco Buzzetto,

Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense

Monsieur le Ministre,

Le soutient dont vous accusez l'OMO n'est que logistique et non politique. Cette vidéo à en effet été hébergée sur notre média. Visiblement tout les aspects du contenu n'ont pas été vérifiés dans les règles.
Une enquête interne est en cours, ce vidéoclip pourrait être retiré de notre média.

Cordialement,


Azanii
Secrétaire Secrétaire Exécutif de l'OMO