Installations humanitaires de l'Ordre des Tyrans de Gallice au Bangana
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Installations humanitaires de l'Ordre des Tyrans de Gallice au Bangana
L'Ordre des Tyrans de Gallice était un ordre de chevalerie syiste séculaire. Militaire lorsqu'il s'agissait de protéger les pélerins et les lieux saints, il s'était fait hospitalier lorsqu'il s'était agi de soigner le pèlerin puis tous les gens dans le besoin. De ses heures de gloire, l'ordre avait conservé l'excellence de ses marins, de sa médecine et de ses hôpitaux. Le recrutement de ses membres, parmi la noblesse de tous le Saint-Empire, en faisait un ordre qui compte, sa puissance terrienne en Gallice et dans l'Empire en confortait les revenus, tous mis au service des plus pauvres.
Son actuel Grand-Maître était encore un jeune homme, de bientôt dix-sept année, né prince d'Empire, dans un monde, Avaricum, où la naissance compte autant voire davantage que le talent. Naguère dévolu au fils puîné du prince de Guysenval, la charge de Grand-Maître de l'Ordre des Tyrans était trop conséquente, politiquement - elle établissait son détenteur à la tête vaste réseau de clientèle à travers l'Empire - économiquement, - l'Ordre était, comme personne morale, l'un des plus gros propriétaires terriens et immobiliers de Nouvelle-Alexandrie, de Gallice et d'Yrusalem - pour être laissée à cette Maison rivale de la Maison impériale. Aussi, Edouard VII avait-il jugé plus prudent de placer la grande-maîtrise dans sa Maison, en y faisant nommer, alors qu'il était âgé de deux ans, son petit-fils, le duc d'Escline, puis au frère de ce dernier le duc de Bourgency. En plus de maintenir la grande-maîtrise dans l'orbite royale, ces nominations parmi les cadets de la maison royale avaient l'avantage de compléter pour eux les revenus d'apanages royaux amoindris et de leur faire entretenir une Maison à la hauteur de leur rang princier
L'actuel titulaire de la Grande-maîtrise était le 2e duc de Bourgency, cousin issu de germain de l'Empereur, S.A.S. le prince Henri de Valois-Atrébatie, aîné des petit-fils de l'Infant Charles, oncle du Souverain. Il avait succédé, à l'âge du berceau, à la Grande-maîtrise de son père assassiné par un républicain à la sortie de l'Opéra.
S.A.S. le prince Henri de Valois-Atrébatie, duc de Bourgency, Grand-Maître de l'Ordre souverain, militaire et hospitalier des Tyrans de Gallice
Arrivé via Fort-de-Livadia, par la voie des airs, avant que l'UTO ne ferme le ciel Ostarien, accompagné d'une délégation. Il s'offrait un prétexte charitable pour une aventure banganaise. Il visita l'hôpital de Bombasha, installé dans un ancien couvent acheté à bon frais par la Résidence général qui venait d'en faire le don à l'Ordre, mettait son personnel médical au service des malades, et son génie expéditionnaire à la réfection des bâtiments. L'hôpital Saint-Sevan de Bombasha avait accueilli ses premiers patients : réfugiés, soldats, résidents de Bombasha et de ses campagnes.
Le drapeau de l'Ordre flottait fièrement au dessus de l'édifice, marquant la venue de l'institution charitable, parmi les institutions humanitaires micromondiales.
Son actuel Grand-Maître était encore un jeune homme, de bientôt dix-sept année, né prince d'Empire, dans un monde, Avaricum, où la naissance compte autant voire davantage que le talent. Naguère dévolu au fils puîné du prince de Guysenval, la charge de Grand-Maître de l'Ordre des Tyrans était trop conséquente, politiquement - elle établissait son détenteur à la tête vaste réseau de clientèle à travers l'Empire - économiquement, - l'Ordre était, comme personne morale, l'un des plus gros propriétaires terriens et immobiliers de Nouvelle-Alexandrie, de Gallice et d'Yrusalem - pour être laissée à cette Maison rivale de la Maison impériale. Aussi, Edouard VII avait-il jugé plus prudent de placer la grande-maîtrise dans sa Maison, en y faisant nommer, alors qu'il était âgé de deux ans, son petit-fils, le duc d'Escline, puis au frère de ce dernier le duc de Bourgency. En plus de maintenir la grande-maîtrise dans l'orbite royale, ces nominations parmi les cadets de la maison royale avaient l'avantage de compléter pour eux les revenus d'apanages royaux amoindris et de leur faire entretenir une Maison à la hauteur de leur rang princier
L'actuel titulaire de la Grande-maîtrise était le 2e duc de Bourgency, cousin issu de germain de l'Empereur, S.A.S. le prince Henri de Valois-Atrébatie, aîné des petit-fils de l'Infant Charles, oncle du Souverain. Il avait succédé, à l'âge du berceau, à la Grande-maîtrise de son père assassiné par un républicain à la sortie de l'Opéra.
S.A.S. le prince Henri de Valois-Atrébatie, duc de Bourgency, Grand-Maître de l'Ordre souverain, militaire et hospitalier des Tyrans de Gallice
Arrivé via Fort-de-Livadia, par la voie des airs, avant que l'UTO ne ferme le ciel Ostarien, accompagné d'une délégation. Il s'offrait un prétexte charitable pour une aventure banganaise. Il visita l'hôpital de Bombasha, installé dans un ancien couvent acheté à bon frais par la Résidence général qui venait d'en faire le don à l'Ordre, mettait son personnel médical au service des malades, et son génie expéditionnaire à la réfection des bâtiments. L'hôpital Saint-Sevan de Bombasha avait accueilli ses premiers patients : réfugiés, soldats, résidents de Bombasha et de ses campagnes.
Le drapeau de l'Ordre flottait fièrement au dessus de l'édifice, marquant la venue de l'institution charitable, parmi les institutions humanitaires micromondiales.
Diplomatie avaroise- Messages : 31
Date d'inscription : 16/08/2019
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