Manifestations sur la loi romanienne et l'autonomie mézenienne

Des manifestations massives avaient eu lieu ce mercredi partout en Francovie à l'appel des nationalistes et conservateurs.
Il existait en effet une convergence des luttes sur 2 questions : l'autonomie de Mézénas ainsi que la loi romanienne jugée beaucoup trop progressiste notamment sur l'avortement.





C'est surtout à Picabie que la manifestation de ce mouvement a eu le plus de retentissement.
En effet l'un des leaders en tete de cortège n'était autre que Rayal Picaban ! Le Premier Gouverneur de la Francovie se retrouvait à mobiliser contre l'adoption d'une loi écrite par le Roi en personne.

 

Profitant de l'interet des médias, celui qui préside le Conseil des Sages et est l’époux de l'impératrice du Comtat-Francovin a déclaré devant les médias :

- "Le processus mené par le gouvernement est beaucoup trop laxiste envers l’extrémisme mézénien.
J'ai payé personnellement déja très cher la tolérance que nous avons eu envers ses terroristes avec l'assassinat de mon cousin le Prince-Picaban par des soutiens merksistes du scélérat Peyranne. Je ne veux pas que cela recommence.

Cette autonomie n'est qu'un piège tendu par les Etats-Fédérés de Mézénas contre la Francovie.
Nous ne devons pas tomber dedans et au contraire interdire tous les mouvements pro-indépendant et mettre aux arrets leurs leaders.
J'ose croire que le Roi ne validera pas une telle erreur.
En tout cas moi je ferai tout en sorte au Conseil des Sages pour empecher la création de ce Super Clan surpuissant mézénien et j'agirai directement en tant que Premier Gouverneur sur ces questions locales."

Interrogé sur la loi romanienne le Premier Gouverneur garda le ton :

- "Je ne soutiens pas le chapitre 2 de la loi. Le chapitre 4 va cependant dans le bon sens, j'ose croire que le Roi renoncera aux mauvaises idées pour garder les bonnes."


Picaban se replaçait en tout cas dans la course au leadership du vote patrio-nationaliste, lui qui avait reperdu en influence malgré son poste ces dernières semaines au profit des Consuls de Francovie successifs.