Réactions des sénateurs

Charles de Mont-Robert, Sénateur-Maire MNF de Rémipolis :

Le traité de reconnaissance avec Prya est une bonne chose, il ne faut pas non plus nous isoler totalement. Mais, j'espère que Prya ne sombrera pas de nouveau dans son inactivité, et surtout, que ce traité n'est pas la première étape pour une adhésion dans la LEM, qui serait une très mauvaise chose.

L'ancien Président de la République et Sénateur Jean Coty fit son grand retour au Sénat.


Il annonça aux journalistes

Jean Coty

Oui, ça va mieux. Mais je commence à me faire vieux, vous savez. Survivre à un attentat et à un assaut contre le Palais des Louvrières, ça passe encore. Ca avait de l'ingéniosité... Et du courage! Haaaa! Il fallait en avoir dans la tête pour faire la folie d'assaillir le Palais.

Mais là, une lâche agression au sol... Les temps ont changé et je ne suis pas sûr que je tiendrais face à un nouvel attentat... Du moins mentalement, parce que physiquement, ils m'ont toujours raté!

Rire

Quoiqu'il en soit, c'est le dernier mandat que je ferais. Aux prochaines municipales, je ne serais pas candidat et je me retirerais pour une retraite bien méritée. D'ailleurs, j'ai d'ors et déjà démissioné de mes fonctions au sein de la FdC comme chef du courant "Républicaniste". Je serais remplacé à ce poste par Pierre Deschanels.

Jean Coty sortit du Sénat furieux. On lui avait rarement fait un tel affront en public. On venait de rire à son nez sur son expression des "milliers" de miliciens. Il fut interrogé par des journalistes.


Jean Coty:

C'est de la folie ce que fait Boncoeur! Il estime qu'il n'y a que 2.000 miliciens... Rien que moi, j'ai recensé près de 5.000 soldats actifs pour le gouvernement. A cela, il faut ajouter la destruction de l'Etat central du Bangana et donc l'absence de gestion de leur armée.

Aujourd'hui, n'importe quel groupe rebelle peut venir dans une base Banganaise prendre des armes et du matériel comme un avion, certes rudimentaire, mais de combat. Nathan Boncoeur s'est fichu de nous, il ne sait absolument pas ce qu'il y a au Bangana.

Boncoeur veut jouer les héros... Mais je rappelle juste que ce n'est pas sa vie ou sa carrière qu'il engage. C'est la sécurité de la nation et la vie de nos soldats.

Eric Franchet :

Le PTR a une position très claire sur les deux OPA qui viennent d'être faites : l'État doit maintenir sa participation dans ses entreprises. Il s'agit d'une mine et d'une entreprise de BTP, ce n'est pas rien, c'est important.

Mais je laisse mes collègues de l'Assemblée défendre notre vision auprès du gouvernement.

Brigitte Bregen:

Je comprend parfaitement les inquiétudes de la BCF. Toutefois, ce virement était une erreur humaine. Comme le révèle le relevé bancaire, la somme a été remboursée dans les minutes suivantes. Si on fait les calculs, le parti avait largement les moyens de financer la campagne.

Toutefois, j'émet clairement des réserves sur la légalité des perquisitions, sur la base de soupçons totalement infondés, dans le domicile d'un Sénateur, protégé par la constitution, et d'un Ministre régalien.

La Sénatrice Marie Rochet réagit aux accusations portées sur elle.


Je nie en bloc, toutes les accusations portées sur moi, sur un soit disant financement occulte de la campagne électorale d'Eric Franchet. Franchement, soyons sérieux, quel intérêt aurais-je à soutenir Franchet ?

Jamais, je n'ai fait pression pour financer la campagne du candidat travailliste. Pour preuve, l'aveu d'un des conseillers régionaux. Cette personne, pour je ne sais quelle raison, a décidé de procéder à ces transactions vers le PTR. Cette personne a bien évidemment, suite à ces aveux, été démise de ses fonctions, car je ne peux tolérer de tels actes.

Robert Binden fut autorisé à faire un discours sur le parvis du Sénat, il était entouré de nombreux sénateurs dont Jean Coty et Brigitte Bregen


Robert Binden:

Mesdames, Messieurs,

Mes chers Sénateurs et concitoyens,

J'ai combattu, avec mes hommes, contre Jallan. J'ai défendu la République contre vents et marées. Je ne fut pas de ceux qui ont fuit lorsque la République s'effondra. Toujours je fut fidèle.

Aujourd'hui, parce que j'ai voulu protéger mon pays d'une menace potentielle, parce que j'ai voulu que sa sécurité soit respectée, sa souveraineté sauvegardée, j'ai été démis de mes fonctions d'Amiral de nos forces armées marines. Le militaire se retire avec le sentiment d'avoir bien oeuvré pour son pays, l'homme...lui... se retire mais avec le goût amère d'avoir subit le feu d'un réglement de compte d'un Président lesé dans son incompétence.

Je le dit puisque mon devoir de réserve est aujourd'hui levé. Jamais je ne douterais de mon pays, mais aujourd'hui je doute de son gouvernement. Depuis longtemps, j'ai alerté sur le manque de moyen de l'armée. Nous fûmes ignorés. Aujourd'hui que le pays est menacé et que je dit "A cette heure, c'est folie que de porter l'attaque". Le Président quitte l'Etat-Major sans demander d'autres possibilités et me limoge pour avoir osé ne pas lui demander l'autorisation de bouger un navire qui, si je ne l'avais pas ordonné, aurait probablement coulé dans l'ouragan qui arrive en Armara!

Le Président de la République crée un facheux précédent: Maintenant, le Président n'est plus seulement celui qui ordonne l'attaque mais celui qui coordonne les armées, décide de chaque action. Bref, demain, un Chef de l'Etat-Major pourra craindre être limogé pour avoir décidé d'un exercice militaire qui est pourtant habituel.

Je l'ai dit, j'aime mon pays. Mais je n’accepterais sa décadence, je n'accepterais pas qu'il soit menacé. Jamais je ne cesserais de lutter pour lui. C'est pourquoi aujourd'hui ma parole se libère. C'est pourquoi aujourd'hui je m'engage.

Pour la République, Pour la Francovie!

Journaliste:

Monsieur Coty, vous qui fût Président de la République lors du passage de la loi sur le PCUC, comment réagissez vous aux propos d'Hervé Couronne?

Jean Coty:

Hé bien tant mieux. Il a le droit de s'exprimer et les militants UD-IV de voter pour lui.

Stupéfaction du journaliste. Coty soutenais Couronne.

Oui, il peuvent et doivent voter Couronne si ils veulent que l'UD-IV devienne un parti fasciste car ce qu'il propose, c'est le retour au fascisme flirtant avec l'idéologie jallaniste. Tout ce qu'il propose: Peine de mort, "Apprentissage des valeurs", expulsion des étrangers (même ceux en situation régulière!!), fermeture des frontières, monopôle étatique, recul des droits civiques.

C'est ça qui a mené des francovars a tuer d'autres francovars. C'est ça qui a mené au Jallanisme et à la révolution. C'est ça qui est la menace, c'est contre cela qu'il faut lutter. Si Hervé Couronne est maintenu en fonction, j'appelle de vive voix un front républicain des communistes aux souverainistes.

Hervé Couronne doit démissionner de ses fonctions à l'UD-IV, être expulsé du groupe parlementaire. Sans quoi, je demande au MNF, à la FdC, au PTR, au MLG et au POF de faire front commun, un front républicain et d'ostraciser l'UD-IV de la vie politique.

Robert Auberly

Comment? Ah! Le meeting de Monsieur Delpiez, oui je l'ai vu.


Ce que j'en pense.......bof...rien de nouveau, c'est comme d'habitude. Il a passer deux heures a critiquer notre programme en clament haut et fort qu'on en a aucun.

Du coup si l'on suit ce raisonnement son meeting c'est du vent!

Hubert de Prat:

La rumeur selon laquelle le gouvernement d'Union Nationale et le Président INTERIMAIRE souhaiteraient porter un coup dur à notre système de protection de la concurrence est tout à fait inquiétante.

Je demande la réunion de la Commission Sénatoriale des Affaires Economiques et la convocation du Ministre de l'Economie.

Bernard Chateauvin

_Avec la disparition du President Coty c'est une page qui se tourne. La Francovie, le Senat, ne seront plus jamais les memes sens ces opinions tranchantes, incisives et franches.

Hubert de Prat:

Hooo... Oui, je félicite Bernard Chateauvin de son élection. Le Sénat continuera comme avant. Il n'y aura aucune réforme du sénat et des régions. On viendra en séance se regarder amoureusement.

En plus, maintenant que certains viennent contester le peu de pouvoir du Sénat, je vous le dit, on va passer un mois exceptionnellement...

Il se retint de dire "chiant"

Délirante...

Réaction de Nicolas Mandragore suite à la plainte de Makronaval



Nicolas Mandragore, Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense :

La tentative de Monsieur Makropoulos d'arnaquer l'Etat francovar est inadmissible. Je le condamne fermement, et réaffirme aujourd'hui que la Francovie ne se laissera pas intimider et ne se couchera pas. Je peux d'ailleurs vous dire que le Président de la République est très remonté, et qu'il compte taper du poing sur le bureau de la Présidente Uberkrass.

Luc Heliaud , nouvellement élu au Sénat :



C'est absolument historique qu'un Président de la République se retrouve avec 2% à une election nationale.
J'appelle Antoine De Carpentier a démissionner de sa fonction.
Un Président se disant souverainiste , donnant la parole au peuple se doit de le respecter. Le Peuple a clairement dit qu'il ne voulait pas de Carpentier , il doit donc partir pour le bien de la Francovie.
Je peux comprendre que certains soient contre mais il faut respecter le peuple.

Lors d'une séance, Sandrine d'Auteuil eu l'autorisation de faire une déclaration devant ses collègues sénateurs


Sandrine d'Auteuil:

Monsieur le Président,
Mes chers collègues,

Je suis ici pour vous annoncer une nouvelle d'importance, et de dimension nationale. En application de l'article 1er Titre I de la Loi Organique de Décentralisation et notamment les alinéas 2 et 5, le Conseil Régional du Comtat-Francovin a décidé, par accord entre les deux parties, de "régionaliser" sur le même procédé que la nationalisation l'ensemble du conglomérat SCBM Génération.

Cela sous couvert du principe de développement économique lié à la mise en place de législation d'utilités commune d'exception. A partir de demain soir 23h59, l'ensemble des actions de la SCBM seront transférées au Conseil Régional pour une somme de 1.000 R$. La maison mère étant du domaine régional et public, les filiales resterons du domaine privé mais à financement régional. Les filiales seront donc pleinement soumises aux législations sur la concurrence et le système privé.

Mes chers collègues, je vous remercie.

Luc Heliaud , Senateur PSR de Picabie :



Je demande la démission immédiate de madame Seborova qui est actuellement je le rappelle juge Supreme ainsi que de l'ensemble des postes politiques de monsieur Jean Peyranne.
La minable tentative de sécession est innaceptable.

Stéphanie Kashtein :

Je trouve que l'affaire Kold fait beaucoup trop de bruit. On croit rêver quand on entend monsieur Boncoeur, étonnamment tête de liste du RCI, s'exprimer pour une réforme d'une loi qu'il a soutenu. On dirait que monsieur Boncoeur saute sur l'occasion, comme le ferait un opportuniste, pour se positionner en sauveur de la situation. J'ai l'impression que de nombreuses personnes veulent profiter de cette affaire... Ce n'est pas ainsi que doivent se passer les choses. Certes, un homme est mort dans des circonstances douteuses, mais il appartient à la Justice de faire la lumière sur cette affaire si une plainte est déposée. Ce n'est pas une affaire de politique.

Emile Lourre : J'appuie totalement les propos de la sénatrice Mogendor. En tant que président du Sénat, je me tiens informé de l'actualité internationale et de ce qui se passe à l'ONA, eh bien je peux vous dire que "l'ambassadeur" Duvalon a très mal informé le président pryan sur les événements survenus en Francovie. Les propos tenus par le président Morton montrent clairement qu'il ne dispose pas d'assez d'éléments à propos de la situation en Francovie. La République francovare reste une démocratie où la séparation des pouvoirs est respectée et où tout le monde peut s'exprimer, contrairement à ce qu'insinuent les autorités pryannes.

J'ai été heureux d'apprendre que notre allié armaréen nous avait apporté son soutient, et je suis également satisfait du soutient du Saint-Empire d'Edoran qui avait dû aussi faire face à des menaces de coup d'état. Cette crise aura au moins permis à la Francovie de voir sur qui elle peut vraiment compter.

Sous de larges applaudissements, et des saluts amicaux de membres du PSR, Andra Vanhallan monta les marches du Sénat.


Andra Vanhallan:

Bien sûr que c'est une victoire. C'est la preuve d'un réèl soutien aux politiques que je mène comme Premier Ministre du Comtat, avec le PCC. Cette victoire est l'opportunité de porter la voix du Comtat et de sa volonté populaire au Sénat.

Des réformes sont à venir, de grandes réformes et nous avons notre mot à dire. Je ne serais pas une opposante ou un soutien du gouvernement, mais la représentante des intérêts Comtadins et l'intérêt général.

Le journaliste:

Serez-vous candidate à la Présidence du Sénat?

Andra Vanhallan:

Oui et non. Non, parce que je n'ai aucune chance.

Rire

Oui, parce que cela me permettra d'avoir un temps de parole, un discours pour défendre la ligne chartiste et appeler à un vrai changement auquel peut œuvrer le Sénat.

Emile Lourre :

Je remercie chaleureusement les citoyens de la circonscription de Cheusnon pour m'avoir accordé une nouvelle fois leur confiance. Je constate que la plupart des autres candidats PSR ont été réélus ou élus, je les félicite ainsi que mes nouveaux collègues du RCI et du PCC.

Les Francovars confirment une fois de plus que le gouvernement mène la bonne politique.

Journaliste du Temps :

Serez-vous candidat à la présidence du Sénat ?

Emile Lourre :

Eh bien, je pense que j'ai prouvé que je peux diriger la noble institution qu'est le Sénat, donc je ne vois pas pourquoi je me retirerai.