Arrivée du président Lameçon

Soudain, surgissant de nulle part, deux hommes en cagoule menacèrent le Président pryan avec ce qui devait être une arme à feu. L'un d'eux dit quelque chose mais à cause de sa cagoule, personne ne comprenait ce qu'ils disait ! Il fit un deuxième essai mais le résultat fut le même. Après une dernière tentative infructueuse, finalement il retira sa cagoule.

L'homme : Ouf, on crève de chaud là-dessous ! Bonjour, Monsieur le Président, inutile que je vous donne mon nom, de toutes façons vous ne me connaissez pas. Moi et mon collègue, nous faisons partie des MEUFS, les Mézéniens Énervés par l'Usurpation Francovare. Nous voulons l'indépendance de la région francovare de Mézénas.

Nous sommes vraiment navrés de devoir vous bousculer ainsi mais nous allons vous demander une petite faveur.


L'homme expliqua alors à Lameçon ce qu'il attendait de lui...



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EL/ mp envoyé à Max

Le Mézénien fut quelque peu perturbé par l'arrivée inopinée de fonctionnaires du gouvernement.


L'homme : Pardon, messieurs, mais on était là avant vous ! Ça vous embêterait de prendre un ticket et d'attendre votre tour ?

Un Francovar : Je suis d'accord avec ce que dit le  monsieur ! Mais bon, moi j'étais juste venu pour avoir un autographe mais je peux revenir plus tard, hein ! Je veux surtout pas vous déranger !

André Lameçon n'était pas habitué à ce genre d'accueil mouvementé, lors des sorties en mer des pêcheurs il était rare qu'au retour le débarquement se fasse avec de telles précipitations. Certains voulaient des autographes d'autres le faire téléphoner, Lameçon connaissait mal la Francovie, il signa un autographe ou deux pendant que son conseiller presse composait un numéro puis lui passa le téléphone.

Lameçon indiqua que des canailles qui n'avait probablement pas reçu assez d'amour et d'attention dans leur enfance mériterait d'être écouter pour leur salut et la tranquilité publique, puis il fit un geste pour dégager l'objet bien encombrant de devant lui et suivit la délégation francovar.

Durant le trajet il se tourna vers Denis Despion un de ses conseillers :
-C'était une caméra caché ? Les francovars ont des émissions très variées parfois
-Non ..non je ne pense pas André, on aurait du faire comme Grayfall, il sortait jamais de Prya
-M'oui, Duvalon lui s'en sort bien
-T'es pas Duvalon André, Duvalon à maitriser une terroriste armaréennes dans son bureau sans qu'elle ne s'en aperçoive
-C'est dur mais vrai, file moi le dossier sur les thèmes à aborder, relations, entreprises, pêche, énergie, amitié, potos, ok..mais mais pourquoi t'as barré pêche ?
-Pas le temps Dédé !

Les hommes en cagoule regardèrent Lameçon partir à bord du véhicule envoyé par le gouvernement francovar. Ils étaient tous les deux stupéfaits.


L'homme : Il s'est barré ! Le mec, je lui mets un flingue sous le nez, et lui, tranquille, il se barre ! Il est couillu, le bonhomme !

L'autre homme : Bon, chef, on fait quoi ?

L'homme : On s'arrache ! Si on attend trop longtemps, les flics vont nous tomber dessus et on finira au poste !

L'autre homme : Chef, faut aussi prévenir Bogendorfer que l'opération est un échec, non ?

L'homme : Je te laisse t'en charger, d'accord ? Allez, on rentre !


Les deux hommes repartirent comme ils étaient venus...