Le Politicard

Roberto Delpiez, l’héritier de Jean Coty ?

L'ancien ministre est très actif ses derniers temps, notamment au Rassemblement Cotyiste, qui rassemble plusieurs citoyens, à réfléchir et à d"abttre sur l'avenir du pays, en s'inscrivant sur un héritage Cotyste.

Ce soir, Robert Delpiez a tenu un discours, très offensif, notamment à l'égard de l'UD-IV de Nathan Boncoeur. Il critique point par point les éléments du programme du candidat Boncoeur.

De plus en plus de rumeurs planent autour d'une candidature de Delpiez, si cette rumeur se confirme, il est certains que sa cible est toute désignée.

Crise au Centre National Energétique

La crise économique a frappé de plein fouet le secteur de l'énergie. Energétis serait sur le point de faire faillite.

Une des pistes de travail, défendue par le Gouverneur de la BCF, serait la fusion d'Energétis et d'EPF afin de mutualiser les moyens et de bénéficier d'une force productive qui ne serait pas liée au nombre d'entreprise mais à leur capacité plus forte d'investissement... Ce qui provoquerais, logiquement, des ajustements de la masse salariale et donc du chômage.

Le CNE réfléchit aussi à une hausse réglementée de de 7% des tarifs de l'énergie.

Nous verrons quelles seront les mesures prises par le nouveau gouvernement Peillon.

Interview d'Antoine de Carpentier
Président du MNF
Candidat à l'élection présidentielle

Bonsoir, Monsieur de Carpentier.

Bonsoir

Les primaires du MNF viennent viennent de se terminer. Les militants vous ont choisit pour être le candidat du parti, avec presque 40% des voix, quelle est votre réaction ?

Je suis très heureux bien entendu. Je remercie tous les militants qui ont participé à ces primaires, et bien sûr ceux qui m'ont apporté leur confiance. C'est la récompense d'un travail mené depuis le mois de Mai à la tête du parti, où nous l'avons renforcé. Et je suis heureux que les militants de notre parti m'offre ainsi leur confiance. J'adresse bien sûr mes félicitations aux trois autres candidats. Il ont fait leur campagne, il ont eux aussi, eu la confiance de militants. Je leur adresse ce soir un message de rassemblement. Pour que nous puissions entamer le mieux possible cette campagne présidentielle, nous devons être unis et rassemblés. J'ai besoin de tout le monde.

Pourquoi avez-vous décidé de vous représenter à une présidentielle, alors que vous aviez perdu en Juin ?

Tout d'abord, lors de la présidentielle de Juin, j'étais face à deux alliances. Une à gauche, une au centre-droit. C'est un fait, je n'ai pas été pour le second tour. Mais seul contre ces deux blocs, j'ai tout de même réunis presque 30% des électeurs. Cela était bien sûr de bonne augure pour la suite, et démontrait, que notre projet avait un écho au sein de la population de notre pays. J'ai donc décidé d'être candidat pour continuer mon travail pour la Francovie. Parce devant tous les échecs manifestes de cette présidence Franchet, j'estime que mon projet pour la Francovie est le bon, et que nous pourrons ensemble, redresser notre nation, lui redonner un cap, une direction. Je veux redonner à la Francovie, un Président de la République !

Que pensez-vous donc de la présidence d'Eric Franchet ?

Au mois de Juin, Eric Franchet a été élu, assez largement, il faut le reconnaitre, 56%, c'est un excellent score. Ce qui démontre, qu'il y avait un véritable engouement autour de sa candidature, un véritable espoir au sein du peuple francovar. Et, je l'avoue bien volontiers, une part de moi même croyait en lui. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit le meilleur président qu'on est connu bien entendu, mais j'osai espérer qu'il puisse apporter quelqu'un chose au pays. Je l'espérait, vu son expérience. Il a été Premier Ministre, Ministre, député, cela faisait longtemps qu'il était engagé dans la vie politique nationale. Je pensais qu'il était de taille pour le poste. Mais, malheureusement, et comme beaucoup de nos compatriotes, j'ai été terriblement déçu. Déçu par l'échec flagrant du Président Franchet. Il n'a su enfiler le costume présidentiel. Il a été frileux, il a manqué de courage, d'action, de présence. Sa présidence restera comme échec, tant on a eu l'impression pendant bientôt trois mois, qu'au fond, la Francovie était sans Président.

Pensez-vous que la crise économique actuelle est de sa responsabilité ? Et que pensez-vous de cette crise, comment y faire face selon vous ?

Eric Franchet a une parti, indéniablement, de responsabilité dans cette crise économique. S'il avait était plus présent, s'il avait prit plus de décision, on n'en serait sûrement pas là. Mais, je ne crois pas que cette crise économique soit uniquement la responsabilité des responsables politiques, il y a eu, il ne faut pas l'oublier, la crise de la flémingite, qui a paralysé le pays une grand parti du mois de Juillet et du mois d'Août. Et donc forcément, l'économie, les institutions ont tournait au ralenti. Pour remonter la pente, il faut que l'Etat prenne selon moi ses responsabilités, et soit l'acteur de cette relance. Je pense que nous devons continuer, et donc terminer une bonne fois pour toutes, les privatisations sur les entreprises non-stratégiques, je pense notamment aux dernières actions publiques de SAVCO, ou de Lagonda. Il faut ensuite que l'Etat mène une politique volontariste, d'investissement. Nous avons récemment enregistré un fort excédent. L'Etat doit le réinvestir dans l'économie nationale, et recréer un dynamisme.

Concernant la faillite annoncée de la société Energétis, quelle est votre avis sur les différentes propositions énoncées ?

Il faut que l'Etat finance un plan de sauvetage, de 5,000 R$ comme proposé. Je pense également qu'une TVA Energie est une mauvaise idée. Mais, autorisons la vente de PE d'EPF à l'étranger, et faisons baisser les prix de l'énergie pour les entreprises. Cela soutiendra la relance économique.
je ne sais pas quelles décisions prendra le gouvernement, mais je pense que c'est décisions pourrait êtres des solutions intéressantes.

En parlant du gouvernement, quel est votre avis sur les législatives partielles, et sur la composition du gouvernement Peillon I ?

Concernant les législatives partielles, il est indéniable que c'est une victoire de la droite, qui recueille environ 60% des suffrages. Mais, ce n'était ps le réél enjeu. L'enjeu, c'était de réunir les conditions pour créer une véritable union nationale, enfin de gérer le pays, répondre aux urgence, jusqu'à l'élection du prochain président. Concernant la composition, il était normal que François Peillon soit nommé. Je lui fait confiance. je pense qu'il peut mener à bien cette mission. Le MNF à deux postes, les Affaires Etrangères/Défense pour Nicolas Mandragore, et la Culture et les Sports pour Alexis Benito. Nous sommes satisfaits. Mais l’intérêt, je le redis. Ce n'était pas d'avoir tel ou tel poste, c'était cette union nationale. Je fais donc confiance à ce gouvernement. Et, je regrette par ailleurs l'absence du PPF de cette union nationale. Tout le monde n'a pas le sens des responsabilités malheureusement.

Un dernier mot sur votre candidature ?

Notre pays traverse une épreuve. Notre pays souffre, et avec lui de nombreux francovars. Il est temps de renouer avec le courage, la fermeté. Je suis optimiste, parce que je crois en notre pays, je crois en notre peuple, à sa capacité de surprendre, à sa capacité de surmonter les épreuves. Et je suis convaincu qu'ensemble, si nous restons fidèles à nos valeurs, si nous agissons, nous serons capables de redresser la Nation.

Merci Monsieur de Carpentier d'avoir répondu à nos questions.

Merci à vous.

Interview de Nathan Boncoeur

Bonsoir Monsieur Boncoeur.

Bonsoir

Que pensez-vous des résulatats des élections régionales ?

_Ces élections Régionales étaient un véritable test avant la Présidentielle et une façon pour chacun de voir si les Francovars font encore confiance ou non a un monde politique qui les a souvent déçu. Il s'avère que le message est sens appel, l'ancienne majorité de Gauche PTR/MLG dévisse alors que la Droite, MNF et UD-IV réunis, remporte des victoires significatives. Le message est très clair a l'attention d'Eric Franchet, c'est un vote de sanction.

Et des législatives partielles ?

_Même analyse, les Francovars disent a Eric Franchet qu'ils ne sont pas contents de sa façon de gérer le pays. C'est aussi, hélàs, un message a Raymond Pointacle dont le Gouvernement, malgré le peu de temps ou il fut en place, n'a pas pris vraiment les problèmes du pays a bras le corps, depuis trois mois la Francovie est en quasi-abandon par le pouvoir, les Francovars veulent que quelqu'un donne un cap, s'occupe de résolve certains problèmes tels que l'urgente crise économique. Je ne fait pas là une critique gratuite de l'action de Raymond Pointacle, on était de la même majorité et je crois qu'on ne l'a pas aidé en le critiquant sens cesse alors qu'il venait a peine de s'installer.

Quel est votre avis sur la composition du gouvernement Peillon ?

_François Peillon a voulu former, et c'est a son honneur, un Gouvernement d'union nationale, l'UD-IV, le MNF et le Bloc Comptadien ont répondu a l'appel, prouvent ainsi qu'ils ont un sens des responsabilités qui les poussent a agir pour leur pays malgré leurs divergences. C'est un très bon message adressé aux Francovars et une belle image d'unité dans des moments dur pour notre pays. Je déplore que le PPF, le MLG et le PTR soient aux abonnés absents, la Gauche montre son incapacité a agir pour l’intérêt général du pays, pourtant elle représente beaucoup de nos compatriotes qui doivent être déçus de son comportement enfantin, je pense notamment aux 56% qui ont voté pour Eric Franchet et le PTR.

Faites-vous confiance au Premier Minstre et au gouvernement pour faire face à la crise économique ?

_Sens aucun doute. Le Premier Ministre et le Gouvernement vont, j'en suis sur, trouver des solutions pour enrayé la crise, le Ministre de l'Economie a fait déjà une annonce importante sur les mesures qui pourraient êtres prises et François Peillon doit les confirmés ce matin. J'ai confiance et il faut faire confiance et travailler dans l'unité si l'on veut réussir, en ordre dispersé nous nous pouvons qu'échouer.

N'est pas une mauvaise nouvelle pour vous que M. Peillon soit nommé ?

_Il est normal dans une formation comme l'UD-IV ou l'ont a des débats, des ambitions, que l'on ai parfois des relations houleuses et que certains se positionnent pour l'avenir. Est-ce que je suis mécontent de la nomination de François Peillon au poste de Premier Ministre? Non, parce que je sais qu'il fait ce qu'il peu malgré le peu de temps qui lui est imparti pour relever le pays si durement éprouvé par l'échec des Gouvernements de la Présidence Franchet, par une pandémie de flemmingite et une crise économique grave. Oui, dans l'avenir Mr Peillon et moi-même pourrions soit nous affronter soit travailler ensembles, mais je ne vois pas en sa nomination une mauvaise nouvelle.

Etes-vous confiant pour la présidentielle ?

_Ne sachant pas encore qui j'aurais face a moi je ne peut pas dire. Je pense avoir autant de chances que les autres de l'emporter. Mais cela est très secondaire. J'ai un projet, un plan, un cap pour le pays, le moment venu je le présenterais aux Francovars et leurs demanderais si ils l'approuvent et me font confiance pour diriger le pays. Leur vote seul répondra a cette interrogation.

Ne craignez-vous pas une percée du PPF ?


_Il faut bien distinguer deux notions. La notion de Résistance et celle de Révolution. L'UD-IV est un parti issu de la pensée Kikojirote initiée par Pierre Kikojiro, fondateur de la IIIème République et Résistant bien connu puisqu'il a contribué a Libérer la Francovie de l'emprise Jallaniste, nous nous reconnaissons dans cette notion de Résistance. Le PPF est un mouvement Révolutionnaire et les Révolutionnaire, bien souvent, sous couvert des intentions les plus nobles, font beaucoup de mal.

PCF : 25 sièges
DVG : 3 sièges
BC : 20 sièges
UD-IV : 29 sièges
MNF : 21 sièges
DVD : 2 sièges

Interview Nathan Boncoeur

Bonsoir Monsieur Boncoeur

_Bonsoir

Selon vous, pourquoi le Conseil National vous a nommé tête de liste ?

_Les membres du Conseil National de l'UD-IV, ces membres et non pas son Président ou ces vices-présidents, ont choisis de me nommer tête de Liste car ils étaient en accord avec mon message de l'élection présidentielle et qu'ils ont jugé que malgré mon échec j'était encore le meilleurs de mon camp pour incarner la politique que nous voulions mener, celle que j'ai défendu pendent la présidentielle.

Cela n'a pas créé un conflit avec François Peillon ?

_Non, le conflit qui m'oppose au Premier Ministre, sens pour autant que je lui manque de respect ni d'estime, existe depuis plus longtemps et ce n'est pas ma candidature qui a crée ce conflit. François Peillon était là pour assurer, tout comme Robert Auberly, un intérim. Maintenant il y a un Président élu et il doit y avoir aussi un Premier Ministre.

Quel sera votre programme, si vous êtes nommés Premier Ministre ?

_Un programme qui assume d'être de Droite et Libéral. Le programme que j'ai défendu lors de l'élection Présidentielle, ainsi bien entendu que celui pour lequel Antoine de Carpantier à été élu. Mais si je suis Premier Ministre la semaine prochain, je le dit sens détour, je mènerais cette politique Libérale que je pense être la seule voie possible pour redresser le pays.

Quels seraient vos rapports avec le Chef de l'Etat ?

_J'ai du respect et pour la personne d'Antoine de Carpantier et pour la fonction Présidentielle, si je devais travailler cote a cote avec le Président je souhaiterais que cette notion de respect soit la clef de voûte de notre relation. Sens respect on arrive a rien. Après....lui et moi nous avons des points commun, l'énergie, le volontarisme entre-autre.

Selon vous, quel est le rôle du Premier Ministre ?

_Le Premier Ministre n'est pas qu'un simple collaborateur pour moi. Il mène certes la politique décidée par le Président mais il doit aussi avoir une vision personnelle de ce qu'il veut faire. Il doit être implacable et savoir faire preuve d'autorité envers ces Ministres.

Quel Premier Ministre serez-vous ?

_Exactement ce que je viens de vous dire. Un partenaire du Président de la République et non un simple collaborateur.

Pourquoi il est important de voter pour votre liste ?


_Nous souhaitons former une majorité qui ne se cache pas et qui assume pleinement ce qu'elle est et ce qu'elle veut faire. De plus on ne peut pas laisser les Communistes arriver au pouvoir!

"J'ai choisi"

C'est ce qu'aurait déclaré le Président de la République à certains de ses proches conseillers, à propos du nom du futur Premier Ministre si la droite obtient une majorité aux législatives. Il aurait également confié que "ce choix est logique. Cela devait arriver."

Bonjour Madame d'Aurale

Pourquoi avez-vous décidez de sortir du silence aujourd'hui ?

Parce que cela fait longtemps que le silence nous est imposé. Il nous est imposé par la loi et la jurisprudence de l'affaire Coty, qui engendra l'interdiction pénale de parler du passé des anciens du régime de Jallan. Mais j'estime aujourd'hui que le pays est mûr, la cohésion nationale est assez forte pour permettre l'ouverture des affaires du passé.

Qu'elle ce qui vous a motivé a accuser si violemment l'Etat ?

Je n'accuse pas l'Etat mais nos gouvernants. De Morgan à De Carpentier. Vinago, Kikojiro et tous les chefs révolutionnaires qui ont instauré la République de cacher la vérité, de vouloir éteindre les haines contre les jallanistes. Je ne le conteste pas. Si nous n'avions pas mit fin à cette guerre civile de cette façon, il y aurait eu un véritable génocide de la part des révolutionnaires.

Mais tout à basculé ces derniers mois: Il y a eu l'affaire Coty et un gouvernement Jallaniste au Skotinos. Il y a eu la Monarchie. Cela montre bien qu'il y a des élements qui veulent continuer à menacer la République. Et le gouvernement reste passif.

Qu'elle est votre histoire sous la période jallaniste ?

Je n'étais pas une révolutionnaire active, vous savez. J'étais une religieuse Romane et nous étions neutre sur le plan de la guerre. Nos supérieurs collaboraient avec Jallan, de peur de voir leurs pouvoirs s'effondrer. Mais nous, les couventines et les moines, nous étions à soigner les blessés, les démunis, les réfugiés. Avec ma congrégation, nous œuvrions non loin de Micropolia ce soir là où Jallan fut renversé. L'histoire ne le dit pas, mais ce soir là, dans un ultime sursaut de folie. Des soldats décidèrent de ravager la région. Ho! Ils furent vite arrêtés... Mais ils ont eu le temps de massacrer le camps de blesser dont nous avions la garde.

Et aujourd'hui, j'ai les preuves que le lieutenant qui avait ordonné ce meurtre s'en est tiré. Il a déclaré obéir aux ordres de Jallan et est donc tombé sous le coup de la loi d'amnistie. Il est aujourd'hui sur les plages du Mézénien, à passer du bon temps. Il perçoit même une solde d'ancien combattant, c'est dire!

Moi, comme tant d'autre, je revois à chaque instant les cris, les tirs et le sang. L'odeur et le goût du sang... Je l'ai toujours.

Que pensez-vous de la lo d'Amnistie ?

Elle est honteuse car elle permet de protéger les criminels d'hier. Ils bénéficient du titre d'ancien combattants pour la plupart.

Réclamez-vous sa suppression ?

Oui, je réclame sa suppression et l'ouverture du grande commission sur les crimes du jallanisme afin de traduire devant un tribunal populaire ces assassins.

A qui vous vous adressez directement ? L'Etat ?

A tous! Au peuple, aux députés, aux Sénateurs, au Premier Ministre, aux chefs religieux et au Président de la République.

Merci, Madame d'Aurale.

Jean-François Maillard : L'homme fort du gouvernement ?

"Maillard est clairement le pilier central du gouvernement." C'est ce que déclarent de nombreux parlementaires MNF. La popularité du Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Empoi est au beau fixe dans le groupe MNF de l'Assemblée Nationale. Pour eux, c'est la pièce centrale du gouvernement, c'est lui qui met en place la relance économique, sous l’autorité du couple exécutif.

Au MNF, certains pensent même déjà à l'après De Carpentier ! On pourrait penser qu'ils enterrent trop vite le Chef de l'Etat, mais quelques parlementaires s'attendent à une longue guerre de chefs lorsque le Président de la République partira.

Mais, ils peuvent attendre longtemps, Antoine de Carpentier sera peut être Président de la République jusqu'en Mars 2015 !

Sondage popularité exécutif et gouvernement

1ère - Jennifer Kold, Ministre des Affaires Sociales et de la Santé : 57%


2nd - Antoine de Carpentier, Président de la République : 54%


3e - Nicolas Mandragore, Ministre des Affaires Etrangères et de la Défense : 54%
4e - Jean-Louis Perrier, Ministre de l'Education Nationale et de la Jeunesse : 48%
5e - Jean-François Maillard, Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi : 47%
6e - Bruno Rocard, Minstre de l'aménagement du territoire, des transports et de l'écologie : 46%
7e - Catherine Vaillant, Ministre de la Culture et des Sports : 47%
8e - Robert Auberly, Premier Ministre : 45%
9e - Cecile Lagarde, Secrétaire d'Etat à l'Agriculture : 43%
10e - Michèlle Massonna, Secrétaire d'Etat aux Cultes : 42%

Une fronde Anti-Demarchet au sein du MNF ?

Une fronde serait-elle en train d'être préparée au sein du MNF afin de renverser Christophe Demarchet et d'organiser un nouveau Congrès ? C'est ce que plusieurs proches des ténors du parti présidentiel affirment. Qui serait à la manœuvre exactement ? Vincent Lacombe, épaulée d'Etienne Hennebeau.

Les deux hommes avaient été battus par Antoine de Carpentier lors de la primaire au mois d'Aoùt, mais avaient réunis à eux deux, environ 50% des suffrages. Leur alliance pourraient être majoritaires au sein du MNF. Etienne Hennebeau est un rival historique de De Carpentier, cela n'est donc pas étonnant. En revanche, plus surprenante serait la rebellion de l'ancien Premier Ministre Vincent Lacombe, qui fut depuis longtemps un De Carpentiste convaincu. Mais, il se dit qu'il pense lui aussi à l'avenir, et souhaiterait en premier lieu, prendre la présidence du parti.

Un mouvement frondeur est donc en train de se former. Quand le Conseil National devra t-il statuer sur la destitution de Demarchet ? Est ce que cela barrera la route au Président de la République pour Décembre ?

Aucunes réponses pour le moment.

Raphaël Vinago hospitalisé

L'ancien Président de la République, Raphaël Vinago, a été hospitalisé à Micropolia aujourd'hui. Ses proches parlent d'une rupture d'anévrisme.

Face à la fronde silencieuse, Demarchet veut reprendre la main

Alors qu'une fronde interne se trame au MNF, menée par Vincent Lacombe et Etienne Hennebeau, dont le but serait de provoquer un nouveau Congrès et de renverser Christophe Demarchet de la présidence du parti, l'ancien Ministre veut reprendre la main, et réunit ses soutiens. Il se dit qu'il s'est rendu aux Louvrières afin de rencontrer le Président De Carpentier pour préparer la riposte. Car, le Président veut à tout prix maintenir Demarchet, et redoute plus que tout de voir Hennebeau prendre la tête du MNF. Cela signifierai des primaires internes pour la présidentielle de Décembre, ce dont il ne veut absolument pas.

Le Président du MNF veut donc se aire plus actif et également rencontré Rose Ambert, cheffe de l'aile droite du parti, en vu de récupérer ses voix au Conseil National, brandissant le danger que représenterait la victoire du libéral Hennebeau. Il se dit qu'il serait en contact avec FT2 pour faire une interview, histoire de remettre les pendules à l'heure.

Alors que le parti présidentiel résiste pour l'instant assez bien à l'usure du pouvoir, des divisions internes pourraient faire évoluer les choses. Divisions, surveillées de très près par les Louvrières.

Interview François Peillon

Bonsoir Monsieur Peillon, merci d'avoir accepté notre invitation.


_Tout le plaisir est pour moi.

Tout d'abord, quel bilan tirez vous de ce début de présidence d'Antoine de Carpentier ?


_Beaucoup de bonnes choses ont été faites c'est indéniables mais je craint que l'on ai surtout retenu deux échec retentissent, l'échec du sommet international et l'échec de la Loi sur la Récidive. Ces deux seuls échecs suffisent a massacrer toute la première partie du mandat pourtant si bien commencée.

Que pensez-vous de la démission de Monsieur Auberly et la nomination de Jacques Dubois ?


_Il fallait après l'échec de la Loi sur la Récidive qu'il s'en aille. Par ailleurs l'affaire dites des "impôt impayés" a fini de l'achever. La nomination de Dubois est une très bonne chose, il semble vouloir le dialogue avec tous le monde et oeuvre rapidement a la mise en oeuvre des Réformes, c'est un bon Premier Ministre.


L'UDR fait de nouveau pleinement parti de la majorité ?


_L'UDR n'a jamais cessé d'être dans la Majorité. Sous prétexte qu'on a voté contre une Loi mal faite et par ailleurs déformée par l'opposition on ne serait plus dans la Majorité? Je n'envisage pas les choses comme cela. Le débat dois vivre y compris au sein de la Majorité, on est pas des chiens muselés, on a droit a s'exprimer librement!

On voit beaucoup de joutes internes chez votre allié le MNF. Que pensez-vous du fait que certains veulent empêcher le Président De Carpentier de se représenter directement face aux francovars ?


_C'est insensé. Le Président sortant a toujours eue une sorte de passe droit sur tous les autres membre de sa famille politique pour se représenter a un second mandat. A moins d'être considérablement affaibli cela ne dois pas changer. Or, Antoine de Carpantier n'est pas affaibli au point que le MNF doive passer par une primaire qui impliquerais le Président de la République. Mais cela est une affaire interne au MNF.

Parlons en de la présidentielle. Serez-vous candidat ?


_Je le souhaite, mais je ne suis pas le seul en lice, une primaire devra désigner le candidat de l'UDR.

L'UDR doit-elle passer par des primaires internes, comme le souhaite M. Auberly, ou des primaires ouvertes à tous les francovars, comme le suggère le Président du Sénat ?


_Je suis absolument contre l'idée d'une primaire ouverte! A quoi bon faire choisir le candidat de l'UDR a tous les Francovars? Et si les électeurs de gauche votent massivement pour un mauvais candidat? Non cette idée est absurde et je me battrait au Conseil National prévu Mercredi pour qu'une primaire interne soit décidée et non pas une primaire ouverte.

On vous voit peu en ce moment, pourtant vous diriger l'UDR. Pourquoi ce silence depuis quelques semaines ?


_Je m'occupe de mon parti tout simplement. J'estime que pour être un bon Président de Parti il faut parfois savoir rester discret. On en a eue un qui était toujours partout et dont on parlais tout le temps et aujourd'hui il dirige un club de foot local.

Que pensez-vous du forum économique de Picabie ?


_C'est une bonne initiative mais je ne suis pas certain qu'un Portalysme 2.0 soit une bonne chose quand on a vu l'échec de la première version. Pour tout dire je pense même que la Francovie peut très bien se passer du Portalysme!

Merci.

Le Président de la République accorde une interview à Francovie Aujourd'hui

Le Président de la République accordera demain une interview chez nos confrères du journal Francovie Aujourd'hui. Les Louvrières précisent bien que cela n'est pas l'interview officielle de mi-mandat, qui elle aura lieu début Novembre et sur une chaine de télévision publique.

Mais, le Président De Carpentier a décidé aujourd'hui de reprendre la parole. Alors que l'on voit que les partis politiques se préparent de plus en plus à la têche de le remplacer en Décembre, annoncera t-il sa décision sur sa candidature ? Cela est peu probable mais il devra surement être amené à recader certains au MNF qui tentent de lui barrer la route. Il sera surement aussi questionné sur les tensions diplomatiques avec nos alliés, qui risquent encore augmenter à propos de la grille de Schweinwald.

Crise Franco-Krasslandaise, Affaire des Appels d'Offres, Le Président De Carpentier va réagir

Les temps sont difficiles en ce moment. La crise franco-krasslandaise s'installe durablement. Après l'imbroglio sur les grilles économiques, une vague de plaintes s’abattent sur l'Etat. Un nœud de quiproquos interminable.

Le Président de la République adressera ce soir ses voeux aux francovars. Il devrait faire des annonces importantes, notamment sur le commerce avec le Krassland. Il se rendra normalement dès la semaine prochaine à Neu Krassburg pour rencontrer la PSR Karen Uberkrass.

Ira t-il jusqu'au crash ? Lui seul le sait. Mais, il se dit que le Chef de l'Etat commence à perdre patience et qu'il compte taper du poing sur la table. De quoi faire plaisir aux souverainistes.

Marie Rochet, la Conquête du MNF (Épisode 1)

Elle l'a annoncé aujourd'hui, la Sénatrice-Présidente du Vernier, Marie Rochet, en poste depuis Mars 2014, a décidé de ne pas se représenter aux élections régionales de Novembre. Elle a aujourd'hui d'autres objectifs, et des vues sur la politique nationale.

Son objectif, elle ne l'a pas encore publiquement annoncé, mais ses soutiens de plus en plus nombreux ne le cachent pas, elle devrait provoquer au Conseil National du MNF un nouveau Congrès, d'ici une ou deux semaines après les élections législatives.

La sénatrice compte bien miser sur la fragilité actuelle de Christophe Demarchet... Ou plutôt sa fragilité à venir qu'elle espère. Car sa décision dépendra de l'élection législatives. Si le MNF réalise un bon score et résiste, Demarchet en profitera et un Congrès sera compliqué à obtenir. En revanche, si le MNF subit une défaite importante, elle devrait annoncer sa volonté de reprendre en main le parti présidentiel.

D'ailleurs, elle le dit à ses proches, étant une De Carpentieriste historique, elle ne sera pas celle qui complotera contre le Président de la République. Mais la sénatrice souhaite renouveller de fond en comble le parti : Nouvelles idées, nouvelle équipe. Il est temps de faire une place aux plus jeunes qui auront à assumer plus tard des responsabilités.

Marie Rochet est donc pour l'instant dans l'attente, mais construit son projet.

Election Présidence UDR

55 premiers sièges, avantage Chauvin-Dermos.

Chavin Dermos: 28 sièges
Hautecourt: 19 sièges
Auberly: 4
Perraut: 0 sièges
Couronne: 4 sièges