Invasion du Bangana

Le Roi apprécia le soutient du Kolozistan mais répondit à Weiss :

- "Il est hors de question que Pirée obtienne du territoire du Bangana, les banganais ne veulent pas de Pirée qui a toujours eu une attitude raciste en leur encontre. Ce n'est pas pour rien que le Mur de Pirée existe.
Nous ne devons pas nous soumettre au Duc, nous avons le droit micromondial de notre coté. Contentons nous d'obtenir un mandat de l'ONA et nous irons ensuite sur le territoire des deux fleuves, le Duc a admis son respect du droit micromondial à Talamanca ce qui est toujours ça.

Bien sur ils nous attaqueront si nous allons sur leur propre territoire mais ce n'est pas notre objectif, nous sommes tous d'accord là dessus donc contentons nous de libérer le Bangana tout en allant pas sur le territoire piréen et tout ira bien."

Votre Majesté, nous comprenons votre point de vue et nous nous y rangeons. Ainsi, je préconise de poursuivre la libération de la Kalésie et du Bokoudo, puis de nous attaquer aux Deux-Fleuves.
Pour ce qui est de l'ONA, je ne pense pas qu'il faille attendre son aval.

Le Général Pelletier, qui commande les troupes édoranaises sur le terrain, les généraux de nos trois divisions engagés et leurs régiments de commandement et de soutien ont quittés Triomphant-Sékissa pour rejoindre Bombasha où nous s'établissons dorénavant notre Quartier Général, ainsi que celui des troupes francovares.

Nous incitons Votre Majesté a déployé des colons civils si vous voulais que passé l'intervention militaire le Bangana reste vôtre.

Nos troupes du génie sont en train de terminer la réhabilitation de l'aéroport international de Bombasha. Bien sûr, celui-ci reste fermé aux vols civils et ne servira qu'au aéronefs de nos 3 pays. Nous allons d'ailleurs y baser les deux escadrilles aéronavales qui sont actuellement à bord de notre porte-avion "MIE Amiral Klaus Störtebeker" dans le port de Largeville.

Madame la Première Ministre, vous pouvez sans soucis accoster vos navires dans le port de Largeville.

Par ailleurs, Votre Majesté, nous souhaitons organiser une cérémonie dans un port de Picabie, en présence de la famille d'Archimède Parmentier, afin de rebaptiser un de nos navires du nom de votre illustre compatriote. Où et quand pourrions-nous faire cette cérémonie ?

Paul II :

- "Nous y allons y installer le gouvernement banganais en Exil. Je vais prévenir les banganais.
La cérémonie que vous proposez devrait se dérouler à St Roman les Flots qui est le port principal de la région et l'un des principaux ports économiques de Francovie, il se trouve d'ailleurs en face de Largeville."

Le Roi pensait à quelque chose en voyant la première ministre

- "Ne serait-ce pas l'occasion d'organiser le premier sommet de l'Alliance recomposée ? Si le Chancelier Hauteville accepterait de venir dans quelques jours après notre victoire au Bangana, nous pourrions organiser une cérémonie pour notre victoire et organiser ce sommet."

- Merci pour toutes ces informations. Nous avons néanmoins prévenu les Etats Fédérés de Mézénas de notre passage dans le Détroit de Bighal. Dès que nous serons sur place, nous vous préviendrons des endroits où nous frapperons. Je pense du côté des Lacs Ypado, ainsi que dans la campagne autour de Bombasha

Nous sommes d'accord pour un sommet de la Grande Alliance, où nous pourrons coordonner nos armées, et discuter de l'après guerre du Bangana.

Nous acceptons bien entendu un sommet de la Grande Alliance.

Je propose de lancer la seconde phase de la libération du pays mardi 4 décembre. Je pense que nous aurons libéré la Kalésie pour le 6 décembre, nous attaquerons donc ensuite les Deux-Fleuves, pour cela, nous renforcerons nos effectifs de 2 divisions supplémentaires, pour une prise de contrôle totale le 9 ou le 10 décembre, sauf si Pirée s'en mêle.

Le gouvernement Banganais étant en pleine négociation avec la Kalesie du Nord , nous demandons la suspension des opérations contre la province pour le moment .

Les militaires Kolozistanais suspendent les frappes prévues et attendent la suite des négociations.

Les troupes édoranaises attendent donc le signal de la Francovie pour poursuivre les opérations.

Vive la République Populaire du Bangana.
Vive les Forces Armées Populaires du Bangana


Prosper Boniface Akilebo
Président Suprême de la République Populaire du Bangana
Par la grâce de lui-même et de ceux qui le veulent bien.

Le Maréchal Weiss commançait à être passablement las de la situation. Un gouvernement puis deux, puis trois puis de nouveau deux...

La Francovie pourrait-elle nous expliquer la situation et la place de la Grande Alliance dans cette histoire. Nous sommes venu aider un allié à établir son autorité sur un territoire générant de la criminalité, nous ne somme pas venu assister à une pièce de théâtre de roitelet plus ou moins légitime. Ainsi, le Saint-Empire souhaite que la Francovie confirme sa volonté initiale de voir l'intégralité du Bangana sous le protectorat de la Francovie et de nous voir contrôler militairement l'ensemble du pays, même si la Francovie reconnaît un gouvernement légitime.

Le Saint-Empire tient malgré tout à assurer la Francovie qu'il restera à ses côtés.

Aussi, nous estimons que l'entité gouvernementale qui administrera le Bangana comme protectorat de la Francovie, pourra entretenir une armée restreinte, mais qu'il devrait confier sa défense globale à la Grande Alliance qui bénéficiera ou bénéficie déjà de bases sur place.

Le Roi Paul II donna raison à Weiss. C'était ridicule, la Francovie se retrouvait en grande difficulté :

- "Vous avez raison nous allons clarifier tout cela.
Il y a en effet 3 factions actuellement dans ce pays, une dirigée par Delfrous, une dirigée par ceux que nous reconnaissons et une dirigée par ce scélérat de Akilébo qui a du profiter des bases armées à l'ouest du pays.

Heureusement Delfrous s'est mis d'accord avec le gouvernement que nous reconnaissons, tout le Bangana en dehors des Deux-Fleuves est donc globablement libéré en dehors des forets profondes inaccessibles. 
Il nous reste à libérer le territoire des Deux-Fleuves en mettant fin aux souffrances de ce Akilébo. 

Quand nous aurons libéré la totalité du pays, la Francovie organisera un référendum sur le protectorat. Soit le protectorat est accepté par les banganais et dans ce cas la question sera réglée définitivement soit le protectorat est refusé et dans ce cas les banganais seront maîtres de leurs destins politiques et nous laisserons les civils se partageaient le pouvoir en anarchie et certainement après des massacres mais ce sera ainsi.

Cependant dans les deux cas quelque soit le résultat du référendum nous demandons qu'Edoran et le Kolozistan maintiennent leurs présences au Bangana via une base militaire pour nous aider à préserver la Francovie des trafics divers et pour nous protéger de Pirée."

EL : bon apparemment ya un petit problème sur le scénario de la RP. du Bangana qui a été annulé donc partons du principe que pour l'instant cet événement n'est pas arrivé peut etre que ce sera le cas plus tard. 
Il n'y a donc pas de troisième gouvernement pour l'instant.

EL : attention, je veux pas vous forcer la main. Mon message est purement IL, Weiss veut juste utiliser ses canons.

EL : Pas de soucis j'avais bien compris je ne suis pas le joueur de la RP du Bangana et l'annulation de ce scénario n'est pas de mon fait.

Maréchale Matuchat :

- "Si vous le voulez bien je vous propose de passer à l'action sur le territoire des Deux Fleuves à partir de ce Dimanche."

Voilà qui nous satisfait !

Blandine Matuchat :

- "Bien passons à la libération des Deux-Fleuves, nous libérerons d'abord sa capitale avant de nous diriger vers les bases armées au sud, à cause des forets présentes nous devons d'abord en effet libérer cette ville pour pouvoir prendre le controle de ces bases d'armement.

Pensez bien à ne pas franchir les frontières piréennes, ils n'attendent que ça."

Nous envoyons nos troupes.

Je propose que l'aéronavale kolozistanaise et édoranaise se relaient dans le nettoyage préalable des accès à Sétissi.

Blandine Matuchat :

- "Parfait le but est de prendre le contrôle de Setissi et ensuite de se diriger vers les bases armées du sud. En prenant le controle de ces bases cela mettra fin à toute sédition dangereuse et le gouvernement banganais quelque soit son régime sera stable."