Correspondance du gouvernement de la République du Bangana

Monsieur le Duc, Monsieur le Premier-Ministre, Monsieur le Ministre de l'Economie,

L'Union Transocéanienne et la République du Bangana ont en commun d'importants défis à résoudre en matière d'infrastructures de transport et le président Akilebo souhaite proposer aux autorités transocéanienne un moyen de faciliter en commun la résolution de ces défis.

L'UTO souhaite relier Pirée et la Nouvelle-Syldavie par un tunnel mais étant donné la longueur du tunnel cela représente un investissement très important.

La République du Bangana de son côté est privée de son accès à la mer par l'occupation livado-avaroise de l'est du pays.

Le président Akilebo souhaite vous permettre de réduire de moitié le coùt de votre tunnel. Le Bangana pourrait cèder à l'UTO une bande de territoire longeant la frontière bangano-ostarienne ce qui vous permettrait de construire une partie du tracé de la liaison Pirée-Syldavie du Sud à la surface et de réduire de moitié la couteuse portion devant être parcourue en tunnel. En échange de ce corridor, l'UTO cèderait au Bangana un territoire de surface équivalente sur la côte de la Syldavie du Sud ce qui permettrait au Bangana de disposer d'une enclave portuaire et donc d'un accès à la mer. Cet échange de territoires permettrait ainsi de faciliter la construction de la liaison entre Pirée et la Sydavie tout en facilitant le désenclavement de la République du Bangana.

Dans l'attente de recevoir une réponse de votre part nous vous transmettons nos meilleures salutations,

Innocent Sépamoa
Ministre de l'Economie et des Transports de la République du Bangana.

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Palais Blanc, Résidence ducale,
9, Avenue du Président - Mallington

Mallington, le 10 Novembre de 2019


Monsieur le Ministre,

Après réunion avec mes ministres, je me vois au regret de refuser votre offre. En effet ce que vous proposez ne résout en rien votre problème d'occupation par des forces étrangères qui, je le répète, n'ont absolument rien à faire dans votre pays, d'une part.
D'autre part, nous risquerions alors de déstabiliser le canton de Edlée-Est qui risquerai alors de faire sécession. Ne croyez vous pas qu'il y ai déjà assez d'instabilité en ce moment sans avoir à en rajouter ?
Je le répète notre projet de tunnel est chiffré, il se fera. En ce qui concerne l'occupation du nord d'Ostaria la balle est dans le camps des occupants de VOTRE pays. Dès qu'ils évacuent tous et je dis bien TOUS, même les Francovares, alors nous retirerons immédiatement nos troupes, qui je vous le concèdent ne devraient pas y être. Je pense que nous sommes tous d'accord pour dire que si la Francovie n'avait pas joué avec le feu nous n'en serions pas là.

Amicalement votre,

Royaume du Bangana
Lettre du Gouvernement de Sa Majesté  

Monsieur le Président Akilebo

Nous avions  accepté l'organisation d'un sommet de paix en Francovie dans l'optique d'une réunion pacifique de notre grande nation, malheureusement nous ne pouvons que constater les retards considérables de la Francovie pour l'organisation du sommet, ainsi considérant la crise comme banganaise, le Royaume du Bangana propose l'organisation d'un sommet entre banganais à Bombasha pour permettre une sortie de crise, les banganais souffrent suite a la séparation,  à nous de trouver une solution mutuellement convenable pour sauver notre pays en proie aux profiteurs étrangers qui massacre nos terres .

Dans l'attente de votre réponse , Bien Cordialement Oleg Houlogou , Régent du Bangana.

REPUBLIQUE POPULAIRE DU BANGANA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

Monsieur Houlogou,

Il n'est guère surprenant que les Francovars soient incapables d'organiser ce sommet.  Les Francovars ont toujours été plus faibles que fiables. Toutefois tant que les troupes d'occupation étrangères livadiennes et avaroises seront présentes dans l'est du Bangana, Bombasha ne  nous semble pas être en mesure de présenter les conditions de sécurité requises pour l'organisation d'un sommet.

Prosper Boniface Akilebo
Président de la République Populaire du Bangana

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Palais Blanc, Résidence ducale,
9, Avenue du Président - Mallington

Mallington, le 21 Novembre de 2019


Monsieur le Président,

Je constate, ainsi que le gouvernement, l'évacuation de certaines forces étrangères de votre pays. Mais qu'en est-il des autres ? Avarois et consors ? J'y inclus les Francovares que nous avons TOUJOURS considéré comme des occupants illégitimes de votre pays.  

En revanche, nous sommes très inquiet du retour de la famille Delfrousse dans une région qu'ils nomment la Kalésie.  Sachez qu'en aucun cas ce pays-région peu importe comme vous le nommez  ne sera reconnu par moi ou aucun de mes gouvernements car les Kalésiens furent par le passé une grave menace pour notre Pays. Je ne vais pas entrer dans les détails mais, Monsieur le président, je ne saurait que vous conseiller de faire le ménage dans votre pays, les Delfrousses sont une famille de dangereux sociopathes, qu'il serait bon de mettre a l'ombre à minima.
Vous ne pourrez pas dire que vous n'aviez pas été prévenu en cas de troubles dans cette partie de votre Pays. Nous ne laisserons en aucun cas ces gens se réclamer de la civilisation Syldàve et encore moins tenter de semer le trouble dans notre Pays.  

Bien à vous, Amicalement votre,

REPUBLIQUE POPULAIRE DU BANGANA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

Monsieur le Duc,

Les Avarois et Livadiens ont anoncé leur retrait et tout semble indiquer que ce retrait est en cours ou achevé à l'heure qu'il est. Quant aux Francovars, leurs troupes avaient quitté le Bangana en décembre 2018 avant la conférence de Bombasha.  Après leur retrait militaire la Francovie a tenté de conserver une influence politique dans le pays  en finançant un parti politique  qui sert leurs intérêts mais ce dernier semble en nette perte de vitesse et n'a eu guère d'influence sur les événements de ces derniers mois. Quand aux Delfrous, il s'agit effectivement d'une bande de parasites nuisibles dont il faudra se défaire d'une manière ou d'une autre. Il semlerait que les Livadiens en partant aient laissé des stocks d'armes etde munitions a des éléments réactionnaires kalésiens  et cela ne vas pas aider à apaiser les tensions. pour l'heure j'ai entamé des négociations avec Houlogou qui a donné des gages de bonne volonté en se débarassant d'Octave et en poussant les Avaro-livadens hors du pays.

Par ailleurs je souhaiterais améliorer nos infrastructures de communication avec les pays voisins et j'aimerais construire une route reliant Setissi à Piréa pour faciliter les échanges entre nos pays. Seriez vous daccord de construire la portion de cette route se trouvant sur territoire de l'UTO ?
Avec mes salutations,

Prosper Boniface Akilebo
Président de la République Populaire du Bangana

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Palais Blanc, Résidence ducale,
9, Avenue du Président - Mallington

Mallington, le 21 Novembre de 2019


Monsieur le Président,

C'est avec une joie non dissimulée que j'apprends le départ des troupes étrangères de votre pays. En conséquence, je vous annonce que nos troupes qui stationnaient en Ostaria du nord, n'ont plus rien à y faire. Je vais donc ordonner le départ immédiat de nos soldats qui seront heureux de passer les fêtes de fin d'année chez eux.  
Je constate également que vous avez pris à sa juste mesure la menace Delfrous, sur ce point je ne pourrais que vous soutenir.
Il ne vous reste plus qu'à convaincre votre peuple que vous êtes le représentant légitime de votre pays et à unifier celui-ci, c'est tout le mal que je vous souhaite.
Pour ce qui concerne la route entre Piréa et  Sétissi, je mets le Ministre de l'économie sur le coup, il existe déjà une route, certes elle n'est pas très grande car la région est très montagneuse, mais elle arrive jusqu'à la Muraille de Pirée., qui est la frontière  avec votre pays je vous le rappel.  L'accès le plus aisé se ferai par le Biais d'Aquaria puis jusqu'à le frontière de votre pays. Mais attention cependant, je souhaite avant tout que votre Pays soit réunifié avant d'entamer tout travaux. Je ne vais pas ouvrir une route pour me faire envahir par de forces hostiles. Prouvez moi que vous allez implanter un régime stable et sécurisé et je vous soutiendrait dans vos démarches économiques.
Peut-être pourrions nous en discuter au palais Ducal l'an prochain si la situation s'améliore ?

Amicalement votre,