Bureau Présidentiel

Antoine de Carpentier :

Vous pensez vraiment que l'on ait pas le temps d'attendre la production d'EPF ?

Georges de Hautecourt:

Même si on attend, on a un risque à venir. Les stocks stratégiques sont vides, les stocks d'EPF sont vide.

Il nous faudrait 2-3 mois pour avoir un stock acceptable.

Antoine de Carpentier :

En effet, je viens de regarder les états précis de nos stocks...
Bon, je vais faire l'ordonnance. L'achat se fera par la centrale d'Achats ?

Georges de Hautecourt:

En effet.

Robert Auberly

Monsieur le President.

Je vous annonce que je vais engager la responsabilite du Gouvernement sur la Loi contre la Recidive. Si la Majorite nous suit nous en sortirons renforcer. Dans le cas contraire je prendrais mes responsabilites.

Antoine de Carpentier :

Très bien, j'en prend bonne note.

Alors que certaines tractations commençaient au sein du Conseil National du MNF, le Président reçu Nicolas Mandragore dans son bureau.



N.M : C'est certains, Lacombe et Hennebeau sont en train de s'allier pour renverser Demarchet. Hennebeau a avec lui 17 membres du CN. La question, c'est est ce que Lacombe peut en convaincre 9 parmi les souveranistes pour renverser Christophe. Et, est ce qu'on pourra empêcher les Amberistes de voter pour la destitution.



A.DC : Ils commencent sérieusement à m'emmerder au MNF. Qu'est ce qui leur prend à vouloir toujours se rebeller ? Je suis Président, ils ne veulent pas que l'ont réussise ? Il sont trop obnubilés par leurs ambitions ? Hennebeau, c'est compréhensible, il me déteste et c'est réciproque. Mais Lacombe je ne comprend pas.



N.M : Il semblerait aussi que le jeune Villeneuve est de la partie.



A.DC : Ce jeune ira loin... J'aurai préféré l'avoir avec moi. Bon, il faut préparer la défense au Conseil National. Apelle Chrirstophe et dis lui de rentrer en négociations avec Ambert. Et de tout faire pour rassembler le groupe souverainiste. Qu'il dise que c'est moi qui leur ordonne. Si Demarchet tombe et qu'Hennebeau prend la tête du parti... Je suis sérieusement dans la merde. Comme si diriger le pays n'était pas assez difficile. La démission d'Auberly qui paye pas ses impôts, les divisions dans la majorité, la victoire de l'autre taré de Peyranne, et maintenant une rebellion au sein même de notre famille politique...

Bon, merci Nicolas. On en reparle plus tard. Je vais me coucher. Demain Conseil des Ministres avec Dubois.

Jacques Dubois (en colère):


Antoine! Je ne comprend pas votre décision de dissoudre l'Assemblée! Vous savez que la Droite ne regagnera pas et que vous allez cohabiter avec la Gauche. Si vous vouliez tuer toute vos chances de réélection ou foutre définitivement le pays dans la merde ben c'est bien joué vous avez réussi!

Vous venez de perdre des alliés sur Antoine. J'ai mis ma rancœur et mon amertume de coté pour vous aider a réussir ce mandat et vous savez choisis de me faire payer les conneries de Debré, Pointacle, Peillon et Auberly! c'est de la lâcheté. Après tous nos compromis j'aurais cru que vous vous montreriez aussi loyal que j'ai pu l'être mais c'est une notion qui doit vous être étrangère. 

Aussi vous passerez les prochain jours sens Gouvernement, je démissionne! Nommez qui vous voulez pour assurer l'intérim!

Le Président pensa "Décidement, Dubois n'a jamais rien compris à la politique"

Antoine de Carpentier :

Vous aviez de l'amertume ? Je suis assez déçu car ce n'était pas réciproque. Mais bon, c'est comme ça. Quoi que vous disiez je pense ce que j'ai dit sur votre travail à la Lanterne.

Maintenant je ne vous retiens pas. Merci.

Le Chef de l'Etat le reçu.

Antoine de Carpentier :

Asseyez-vous, Monsieur le Premier Ministre. Vous avez formé votre gouvernement ?

Antoine Bordemer : Disons que j'ai divers noms à vous proposer, dans l'espoir que vous les acceptiez.

Antoine de Carpentier :

Je vous écoute donc.

La voiture arriva aux Louvrières. Les présidents francovars et armaréens s'installèrent dans le bureau présidentiel.

Antoine de Carpentier :

Monsieur le Président, avant toute chose, pouvez vous me donnez plus de détails sur cette histoire de tentative d'assassinat ?

El:/ Nous somme venus à deux l'ancienne présidente et le nouveau vu que la fête nationale devait avoir lieur le 2 décembre.


Mary Harmann :

- Pour ma part, je n'ai eu aucun vent d'une tentative quelconque de tentative d'attentat. En tout cas je peux vous assurer que nous n'y sommes absolument pour rien; même si, personnellement, je ne verserai pas une larme sur le sort de Duvalon.

Paul se prépara à sortir un juron comme à son habitude...vu le nombre de personne dans le bureau, il ne s'abstient pas.

- Quel bordel micromondial! Si j'avais su, j'aurais laissé mon fougueux adversaire gagner. Je n'en sais fichtrement rien, j'ai l'impression que la diplomatie fonctionne plus vite que les renseignements armaréens! Antoine... comment dois-je vous appeler d'ailleurs?, d'où tenez vous ces informations?

Paul ne laissa pas son interlocuteur lui répondre, il rebondit immédiatement:

- Duvalon n'est-il pas ici pour vos festivités? Nous pourions nous rencontrer en marge de cet événement? J'ai toujours prôné le dialogue et la médiation, autant la tenter sur terrain neutre! Vous avez déjà joué au médiateur?

Paul se tourna vers Alphonso et chuchota:

- Ah bon!? Merci de l'info. Attendons la réaction d'Antoine et j'aviserai. J'ai envie de tout tenter pour ne pas attiser le conflit.Je préfère perdre de ma popularité que de ma crédibilité Je ne veux pas déroger à mes convictions à la première difficulté.

Paul se tourna vers Antoine:

- Alphonso est un grand pressé!

Antoine de Carpentier :

Duvalon n'a pas été inviter. Comme l'a dit Monsieur Marinelli, ces insultes ne nous ont pas incités à vraiment nouer des liens avec eux...

La Francovie compte réagir de façon indépendante. Nous avons élevé notre niveau d'alerte de Défense au niveau Jaune, et nous avons 2 chasseurs qui patrouillent dans le ciel et sur les côtes. Nous avons déjà repéré des bâtiment maritimes krasslandais.

Cette intervention militaire du Krassland, pose clairement la question de la future sécurité et indépendante du continent Sud. Je me demande même si Duvalon n'est pas prêt à accepter une sorte de vassalité (du moins une officialisation de cette dernière... parce qu'on peut se demander si ce n'est pas déjà un vassal)

La Francovie va prendre des dispositions militaires pour assurer sa sécurité. Nous avons clairement notre mot à dire sur la situation militaire dans le Continent Sud. Nous ne voulons pas nous enfermer dans une logique de "blocs", mais réagir de façon indépendante mais ferme.

Il se tourna ensuite vers le grand argentier.

Monsieur, en effet, une discution sur l'avenir de nos liens commerciaux est nécessaire. Mais vous comprendrez que vu la situation, je suis actuellement en Chef des Armées, pas en négociateur sur les sujets économique. Je vous propose donc de vous rendre au ministère des affaires etrangères, le ministre vous recevra et vous pourrez négocier.