Re: Bureau Présidentiel

**Edouard Maréchal** Dim 9 Nov - 19:24

Les deux hommes sortirent du bureau présidentiel.

Le Chef de l'Etat raccompagna le premier ministre sur le perron des Louvrières, après quelques photos faites par les journalistes.

**Edouard Maréchal** Jeu 20 Nov - 19:25

Le Premier Ministre est convoqué dans le bureau présidentiel.

**Jonas d'Agrolia** Ven 21 Nov - 15:42

Bureau Présidentiel - Page 8 Borgen%2020

Le nouveau Premier Ministre était arrivé au Palais Présidentiel. Il lui restait deux trois choses à régler au Palais avant de présenter son gouvernement au Président de la République.

**Edouard Maréchal** Jeu 4 Déc - 20:33

La voiture arriva aux Louvrières. Les présidents francovars et armaréens s'installèrent dans le bureau présidentiel.

Antoine de Carpentier :

Monsieur le Président, avant toute chose, pouvez vous me donnez plus de détails sur cette histoire de tentative d'assassinat ?

**Diplomatie Armaréenne** Jeu 4 Déc - 21:13

El:/ Nous somme venus à deux l'ancienne présidente et le nouveau vu que la fête nationale devait avoir lieur le 2 décembre.

Mary Harmann :

- Pour ma part, je n'ai eu aucun vent d'une tentative quelconque de tentative d'attentat. En tout cas je peux vous assurer que nous n'y sommes absolument pour rien; même si, personnellement, je ne verserai pas une larme sur le sort de Duvalon.

**Diplomatie Armaréenne** Jeu 4 Déc - 22:29

Harman reprit :

- Ha et monsieur le président, je suis plus inquiète sur une éventuelle annexion de Prya par le Krassland. La demande d'assistance Militaire par Duvalon leur ouvrant les portes... Compte tenu de la flémingite qui règne un peu partout les krasslandais pourraient en profiter pour tenter des annexion illégales. Soyez tous très prudent... Je vais vous laisser maintenant après tout, je ne suis plus aux affaires.

- A vous de prendre le relais Paul. Monsieur De Carpentier au plaisir de vous revoir.

Mary Harmann salua le président Francovare et se retira à l'ambassade Armaréenne en attendant la cérémonie d'anniversaire Francovare.

Paul Grisham Ven 5 Déc - 7:23

Paul se prépara à sortir un juron comme à son habitude...vu le nombre de personne dans le bureau, il ne s'abstient pas.

- Quel bordel micromondial! Si j'avais su, j'aurais laissé mon fougueux adversaire gagner. Je n'en sais fichtrement rien, j'ai l'impression que la diplomatie fonctionne plus vite que les renseignements armaréens! Antoine... comment dois-je vous appeler d'ailleurs?, d'où tenez vous ces informations?

Paul ne laissa pas son interlocuteur lui répondre, il rebondit immédiatement:

- Duvalon n'est-il pas ici pour vos festivités? Nous pourions nous rencontrer en marge de cet événement? J'ai toujours prôné le dialogue et la médiation, autant la tenter sur terrain neutre! Vous avez déjà joué au médiateur?

**Alphonso Marinelli** Ven 5 Déc - 13:15

Alphonso qui s'était tenu à l'écart approcha de Paul et posa sa main sur son épaule....

- Heu, Paul il faut que tu sache que si nous ne l'avons pas fait, les Francovares eux, ont abrogé le traité de reconnaissance avec Prya. Le président Duvalon les a insulté et ils ont immédiatement réagi en abrogeant le traité de reconnaissance. Peut-être que nous devrions suivre Clayton et le PR ?

Puis s'adressant au président Francovare

- Monsieur le président il était aussi question de rencontrer votre responsable économique, qu'en est-il ? Je suis un peut là pour ça aussi.

Paul Grisham Ven 5 Déc - 17:41

Paul se tourna vers Alphonso et chuchota:

- Ah bon!? Merci de l'info. Attendons la réaction d'Antoine et j'aviserai. J'ai envie de tout tenter pour ne pas attiser le conflit.Je préfère perdre de ma popularité que de ma crédibilité Je ne veux pas déroger à mes convictions à la première difficulté.

Paul se tourna vers Antoine:

- Alphonso est un grand pressé!

**Edouard Maréchal** Ven 5 Déc - 18:40

Antoine de Carpentier :

Duvalon n'a pas été inviter. Comme l'a dit Monsieur Marinelli, ces insultes ne nous ont pas incités à vraiment nouer des liens avec eux...

La Francovie compte réagir de façon indépendante. Nous avons élevé notre niveau d'alerte de Défense au niveau Jaune, et nous avons 2 chasseurs qui patrouillent dans le ciel et sur les côtes. Nous avons déjà repéré des bâtiment maritimes krasslandais.

Cette intervention militaire du Krassland, pose clairement la question de la future sécurité et indépendante du continent Sud. Je me demande même si Duvalon n'est pas prêt à accepter une sorte de vassalité (du moins une officialisation de cette dernière... parce qu'on peut se demander si ce n'est pas déjà un vassal)

La Francovie va prendre des dispositions militaires pour assurer sa sécurité. Nous avons clairement notre mot à dire sur la situation militaire dans le Continent Sud. Nous ne voulons pas nous enfermer dans une logique de "blocs", mais réagir de façon indépendante mais ferme.

Il se tourna ensuite vers le grand argentier.

Monsieur, en effet, une discution sur l'avenir de nos liens commerciaux est nécessaire. Mais vous comprendrez que vu la situation, je suis actuellement en Chef des Armées, pas en négociateur sur les sujets économique. Je vous propose donc de vous rendre au ministère des affaires etrangères, le ministre vous recevra et vous pourrez négocier.

**Edouard Maréchal** Ven 5 Déc - 18:59

Antoine de Carpentier :

Bon, vous m'excuserez, mais je dois tenir une réunion de Défense avec l'Etat-Major. Je vous invite à vous rendre au ministère des affaires étrangères, Nicolas Mandragore se fera un plaisir de préparer avec vous la suite des évènements.

Je vous salue.

Le président francovar était désolé de les laisser ainsi, mais la réunion de défénse était capitale.

Paul Grisham Sam 6 Déc - 9:18

Paul n'était pas là pour enfiler des perles, il décida de quitter la Francovie de ce pas:

- Merci pour l'accueil Antoine, je n'ai pas bien compris ce que je faisait là mais on aura surement l'occasion de se revoir dans des circonstances plus adaptées. Bonne gestion de crise.

Paul parti en laissant son Grand Argentier négocier les affaires économiques.

**Jonas d'Agrolia** Dim 7 Déc - 21:53

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Une fois dans son bureau, le Président de la République prit son téléphone. Il avait une idée de qui nommer comme Premier Ministre en attendant les législatives partielles. Il fallait un gouvernement resserré. Il se fit servir aussi un whisky comtadin.

**Jonas d'Agrolia** Dim 7 Déc - 23:29

Un des conseillers du Président lui annonça la nouvelle: Mariani avait fait foirer la négociation.

Adam de Fratelli:

Bordel, quel crétin... Et il continue son délire, c'est ça? Appellez Marinnelli, j'aimerais le rencontrer dans mon bureau. On va tenter de sauver la négociation.

**Jonas d'Agrolia** Mer 10 Déc - 16:28

TEMOINS ASSISTES?!!!!

Ce cri du Président se fit retentir dans tout le Palais.

Adam de Fratelli:

Je déclenche l'Etat d'Urgence et lance un mandat d'arrêt contre les trois couillons et vous me dîtes qu'ils ne sont rien d'autre qu'en situation de témoins assistés?! Mais allons-y! Le prochain gus qui déclare l'indépendance, filez lui la Légion d'Honneur pendant qu'on y est!

Qui est le con qui a nommé cette stupide procureure? Appelez moi le Ministre de l'Intérieur et de la Justice! Tout de suite!

**Paul Mezzanines** Mer 10 Déc - 16:37

François Derue arriva rapidement au Palais présidentielle. Il fallait dire que l'huissier avait été très persuasif en lui décrivant la réaction du Président...

**Jonas d'Agrolia** Mer 10 Déc - 16:41

Bureau Présidentiel - Page 8 110926021652-fidel-castro-story-top

Adam de Fratelli:

Bonsoir Monsieur le Ministre, installez-vous... Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe? L'Etat lance un mandat d'arrêt contre les 3 autres et j'apprend qu'ils sont considérés comme témoins assistés?

Faut que vous m'expliquiez parce que là je ne comprend pas la situation... Il n'y a que moi qui considère que l'indépendance de Mézenas est une atteinte à la Constitution? Parce que sinon, faut que j'arrête le cigare et la picole!

J'attend votre rapport de la situation, François.

**Jonas d'Agrolia** Mer 10 Déc - 16:45

Un huissier arriva et murmurat quelque chose à l'oreille du Président.

Adam de Fratelli:

Je vais commencer à me mettre en colère... Votre procureure vient de relâcher les 3... Ils étaient là, prêts à être arrêtés sur ordre que j'ai donné, elle a ordonné à la police de les laisser partir.

Là, va falloir vraiment m'expliquer comment je vais faire à présent. Parce que là, à ce rythme, dans deux minutes, j'ai un gars qui va convoquer la Haute-Cour parce que je n'aurais pas respecté le droit de Peyranne à nous chier sur les basques!

**Paul Mezzanines** Mer 10 Déc - 16:47

François Derue :

Eh bien, il semblerait que madame le Procureur les ait laissé partir...oui, partir. Pourtant je pensais avoir été clair à ce sujet. Il faut les arrêter avant qu'ils ne se décident à s'enfermer avec leurs partisans.

La gendarmerie est prête à intervenir.

**Jonas d'Agrolia** Mer 10 Déc - 16:48

Adam de Fratelli:

Bien, agissez, je veux que vous les arrêtiez... Je rappelle quand même que c'est l'Etat d'Urgence dans le Mézenas! Que ça serve à quelque chose!

Quand à la procureur, avons-nous les moyens de la virer?

**Jonas d'Agrolia** Mer 10 Déc - 17:23

Adam de Fratelli:

Bien, la justice a décidé. Nous suspendrons l'Etat d'urgence demain, cela ne sert à rien si la justice décide d'être du côté de Peyranne.

**Jonas d'Agrolia** Sam 13 Déc - 19:41

Le Président reçu un coup de fil. On l'entendit hurler

Adam de Fratelli:

Qu'est-ce qu'il fout?! Kold revendique Almara?! Mais c'est la réunion de tous les crétins?! Ils ont attendu que je sois élus pour qu'ils viennent tous me chier dans les basques!!!

La Première Dame tenta de le calmer et lui demanda ce qu'il n'allait pas

Non rien... C'est le show habituel... Auteuil, Kold et Bogendorfer, c'est les pattes d'eph' de la politique, ils reviennent à la mode tous les dix ans... Et là, il a fallut que ça me tombe dessus! Pile sur mon mandat!

**E. Bogendorfer** Mar 16 Déc - 18:34

Jean Peyranne fit son entrée dans le bureau du Président Fratelli, accompagné de Léna Séborova et Émile Bogendorfer.

Bureau Présidentiel - Page 8 Melenc12

Jean Peyranne : Monsieur le Président, je souhaitais vous faire part de l'indépendance de Mézénas à compter de ce jour.

Ce sont plus des deux-tiers des Mézéniens qui se sont déclarés en faveur de cette indépendance et cela s'est fait en toute transparence et selon un processus tout à fait démocratique.

Nous reconnaissons la Francovie en tant qu'État indépendant et nous ne contestons nullement votre élection. Cependant, nous ne vous reconnaissons plus aucune autorité sur le territoire de Mézénas.

Refuser l'indépendance de Mézénas reviendrait à nier la liberté de chaque peuple de décider de son propre avenir.

Une fois que cela fut fait, ils quittèrent le bureau présidentiel et se rendirent chez le Procureur de la République.

**Jonas d'Agrolia** Mar 16 Déc - 21:10

De Fratelli, surpris de cette intrusion, fit renvoyer immédiatement le chef de la sécurité.

Adam de Fratelli:

Oui, on est en DIF orange et n'importe quel crétin peut venir entrer dans mon bureau, mais sinon tout va bien... Vous voyez cette porte?

**Ludovic Le Cam** Mar 20 Jan - 18:18

Michel Zalseck le Secretaire Général des Louvrières avait réunit dans e bureau présidentiel les collaborateurs de l'ombre du Président.
Il y avait des conseillés à la communication notamment mais pas seulement et pour la plupart ils sont d'un jeune age , volonté du Président en place de renouveau et d'attirer les jeunes.

Les sondages de sortie d'urne étaient correctes , il y avait une avance pour le OUI mais elle n'était pas aussi importante que prévu.
Certains s'attendaient au meme retour de baton que lors de la dernière législative ...

Parmentier absent avait tout de meme contacté Zalseck pour suivre l'affaire et était exaspéré à l'idée de voir la victoire du NON.
Le stress commencait à monter au sein du Cabinet.

Zalseck lui était calme , il ne savait pas à l'heure actuelle si le OUI allait l'emporter mais il avait prévu le coup en cas de victoire du NON pour le Président.
Ses conseilles eux étaient particulièrement fébrile , il faut dire que Zalseck était un patron presque despote.

Aussi quand les resultats provisoires que possedaient les Louvrières grace au ministère de l'Interieur tombaient heure par heure , le résultat s'approchait entre le OUI et le NON et proportionnellement la tension montait chaque fois qu'un procès verbal sur le vote remis à la Cour Supreme transitait dans le bureau.

Un des conseillés se décida meme de se lever tout en excusant et pretextant une excuse sortit rapidement de la pièce pendant quelques minutes.

Zalseck savait bien que ce conseillé s'était littéralement chier dessus , ce qui le fit rire interieurement , lui qui ne riait jamais , au moins pourra t-il raconter cette histoire drole en cas de défaite ...

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